Les paroles de la chanson
« Chez moi »
Patrick Normand
CHEZ MOI
Chez moi, il y avait une étoile
Qui brille quand ta vie se voile
Et qui éclaire une tendre amitié
Chez moi, il y a des croissants de lune
Des poèmes sous ma plume
Une histoire d’amour dans un cahier
Chez moi, il n’y a pas d’automne
Qu’un vieux piano qui fredonne
Des mélodies de printemps et d’été
Et pour que ta vie soit moins morose
J’y ai mis des parfums de rose
Et je t’attends en haut de l’escalier
Tu peux frapper à ma porte
Toi, qui ne sait plus où aller
Avec la peine que tu m’apportes
A deux, on pourra l’oublier
Si tu regardes par ma fenêtre
Tu n’y verras que du ciel bleu
Sous lequel on fera renaître
Un amour tendre et merveilleux
Chez moi, même au mois de décembre
Il y a des anges en robes de chambre
Qui t’attendent au petit déjeuner
Et si ta vie devient trop triste
Tu peux toujours prendre le risque
De venir chez moi pour y entrer
Tu peux frapper à ma porte
Toi, qui ne sait plus où aller
Avec la peine que tu m’apportes
Ensemble, on pourra l’oublier
Si tu regardes par ma fenêtre
Tu n’y verras que du ciel bleu
Sous lequel on fera renaître
Un amour tendre et merveilleux
Chez moi, il n’y a pas d’automne
Qu’un vieux piano qui fredonne
Chez moi, il y avait une étoile
Qui brille quand ta vie se voile
Et qui éclaire une tendre amitié
Chez moi, il y a des croissants de lune
Des poèmes sous ma plume
Une histoire d’amour dans un cahier
Chez moi, il n’y a pas d’automne
Qu’un vieux piano qui fredonne
Des mélodies de printemps et d’été
Et pour que ta vie soit moins morose
J’y ai mis des parfums de rose
Et je t’attends en haut de l’escalier
Tu peux frapper à ma porte
Toi, qui ne sait plus où aller
Avec la peine que tu m’apportes
A deux, on pourra l’oublier
Si tu regardes par ma fenêtre
Tu n’y verras que du ciel bleu
Sous lequel on fera renaître
Un amour tendre et merveilleux
Chez moi, même au mois de décembre
Il y a des anges en robes de chambre
Qui t’attendent au petit déjeuner
Et si ta vie devient trop triste
Tu peux toujours prendre le risque
De venir chez moi pour y entrer
Tu peux frapper à ma porte
Toi, qui ne sait plus où aller
Avec la peine que tu m’apportes
Ensemble, on pourra l’oublier
Si tu regardes par ma fenêtre
Tu n’y verras que du ciel bleu
Sous lequel on fera renaître
Un amour tendre et merveilleux
Chez moi, il n’y a pas d’automne
Qu’un vieux piano qui fredonne