Les paroles de la chanson
« Cheyenne »
Soldat Louis
Nos chants de guerre et de prière se ressemblent
Tant parfois il semble
Que le vent les a poussés
Ces chants étranges ces rêves qui nous hantent
Plus fort que toutes les légendes
Ont résisté
Aux armes aux hommes aux âmes violentes
REFRAIN :
Oh dieu mêle dans mes veines
Mon sang celui des Cheyennes
Qu’à jamais on se souvienne
Cinq siècles font de nous les mêmes
Les tuniques bleues d’ici digne d’un Custer
Ont trop vidé leur cartouchière
Abreuvé nos sillons de peine
Les blessures qui jamais ne se referment
Laissent du temps à la gangrène
Et dans ses germes
Toute la rancoeur armoricaine
REFRAIN
Le rouge et l’noir façon américaine
Teintés de honte européenne
Grandeur des visâges blêmes
L’indignité est à l’échelle humaine
Le fouet qui blesse le poids des chaînes
Restent gravés
A la fierté d’être indigène
REFRAIN
Tant parfois il semble
Que le vent les a poussés
Ces chants étranges ces rêves qui nous hantent
Plus fort que toutes les légendes
Ont résisté
Aux armes aux hommes aux âmes violentes
REFRAIN :
Oh dieu mêle dans mes veines
Mon sang celui des Cheyennes
Qu’à jamais on se souvienne
Cinq siècles font de nous les mêmes
Les tuniques bleues d’ici digne d’un Custer
Ont trop vidé leur cartouchière
Abreuvé nos sillons de peine
Les blessures qui jamais ne se referment
Laissent du temps à la gangrène
Et dans ses germes
Toute la rancoeur armoricaine
REFRAIN
Le rouge et l’noir façon américaine
Teintés de honte européenne
Grandeur des visâges blêmes
L’indignité est à l’échelle humaine
Le fouet qui blesse le poids des chaînes
Restent gravés
A la fierté d’être indigène
REFRAIN