Les paroles de la chanson
« Chevalier du ciel »
Opérettes
L’allure franche et décidée
L’air souriant, le regard droit
Voilà les chevaliers du ciel
Fiers et courtois dans les tournois
Comme l’étaient ceux d’autrefois
Voilà les chevaliers du ciel
De Singapour à l’Alaska
Et de Paname à Panama
Voilà les chevaliers du ciel
Portant l’insigne aux ailes d’or
Sur la poitrine et sur le bras
Voilà les chevaliers du ciel
Du premier maître au commandant
S’ils sont si fiers de leurs rubans
C’est qu’ils ont su en les gagnant
Gagner les cœurs en même temps
L’allure franche et décidée
L’air souriant, le regard droit
Voilà les chevaliers du ciel
Quand un garçon les aperçoit
Il aime dire à haute voix :
"Voilà les chevaliers du ciel!"
Mais quand parfois c’est une fille
Alors en murmurant tout bas :
"Voilà les chevaliers du ciel!"
Elle rougit, baissant les yeux
En sentant bien que son cœur bat
Voilà les chevaliers du ciel
Avant qu’on les entende
Venir comme des fous
Leur vitesse est si grande
Qu’ils sont déjà sur nous
On voudrait quand ils passent
Courir les embrasser
Sur terre ou dans l’espace
Ils sont déjà passés
En nous saluant
Même à l’occasion
Un coup de canon
Contre le mur du son
{puis reprise depuis le début}
L’air souriant, le regard droit
Voilà les chevaliers du ciel
Fiers et courtois dans les tournois
Comme l’étaient ceux d’autrefois
Voilà les chevaliers du ciel
De Singapour à l’Alaska
Et de Paname à Panama
Voilà les chevaliers du ciel
Portant l’insigne aux ailes d’or
Sur la poitrine et sur le bras
Voilà les chevaliers du ciel
Du premier maître au commandant
S’ils sont si fiers de leurs rubans
C’est qu’ils ont su en les gagnant
Gagner les cœurs en même temps
L’allure franche et décidée
L’air souriant, le regard droit
Voilà les chevaliers du ciel
Quand un garçon les aperçoit
Il aime dire à haute voix :
"Voilà les chevaliers du ciel!"
Mais quand parfois c’est une fille
Alors en murmurant tout bas :
"Voilà les chevaliers du ciel!"
Elle rougit, baissant les yeux
En sentant bien que son cœur bat
Voilà les chevaliers du ciel
Avant qu’on les entende
Venir comme des fous
Leur vitesse est si grande
Qu’ils sont déjà sur nous
On voudrait quand ils passent
Courir les embrasser
Sur terre ou dans l’espace
Ils sont déjà passés
En nous saluant
Même à l’occasion
Un coup de canon
Contre le mur du son
{puis reprise depuis le début}