Les paroles de la chanson
« Chercheurs d'eau »
Georges Chelon
Ils ont coupé les arbres
Ils ont volé nos ruisseaux
Ils ont chassé les nuages
Et nous on manque d’eau
Ils ont sorti les armes
Ils disent qu’on est de trop
On n’a même plus de larmes
Tellement on manque d’eau
On était des nomades
On menait les troupeaux
Aux maigres pâturages
On était chercheurs d’eau
On nous a mis en cages
Dans des parcs à bestiaux
Même dans les mirages
On ne trouve plus d’eau
Le monde nous regarde
Certains chantent pour nous
Une goutte de sable
Dans une mer de cailloux
Ils ont coupé les arbres
Ils ont volé nos ruisseaux
Ils ont chassé les nuages
Et nous on manque d’eau
On est des millions d’hommes
Sans terre et sans patrie
Que le monde abandonne
Qui tombent dans l’oubli
Toujours une frontière
Qu’on nous force à franchir
Et toujours des barrières
Pour ne plus revenir
Qu’on soit chassé d’Afrique
Ou du Moyen-Orient
Pour nous les Amériques
C’est quand même des camps
C’est toujours la misère
Avec ou sans de l’eau
C’est encore un désert
Même sur des bateaux
Le monde nous regarde
Certains chantent pour nous
Qu’Allah ou Dieu les garde
De finir comme nous
On est des millions d’hommes
Sans terre et sans patrie
Que le monde abandonne
Qui tombent dans l’oubli
Toujours une frontière
Qu’on nous force à franchir
Et toujours des barrières
Pour ne plus revenir
Ils ont volé nos ruisseaux
Ils ont chassé les nuages
Et nous on manque d’eau
Ils ont sorti les armes
Ils disent qu’on est de trop
On n’a même plus de larmes
Tellement on manque d’eau
On était des nomades
On menait les troupeaux
Aux maigres pâturages
On était chercheurs d’eau
On nous a mis en cages
Dans des parcs à bestiaux
Même dans les mirages
On ne trouve plus d’eau
Le monde nous regarde
Certains chantent pour nous
Une goutte de sable
Dans une mer de cailloux
Ils ont coupé les arbres
Ils ont volé nos ruisseaux
Ils ont chassé les nuages
Et nous on manque d’eau
On est des millions d’hommes
Sans terre et sans patrie
Que le monde abandonne
Qui tombent dans l’oubli
Toujours une frontière
Qu’on nous force à franchir
Et toujours des barrières
Pour ne plus revenir
Qu’on soit chassé d’Afrique
Ou du Moyen-Orient
Pour nous les Amériques
C’est quand même des camps
C’est toujours la misère
Avec ou sans de l’eau
C’est encore un désert
Même sur des bateaux
Le monde nous regarde
Certains chantent pour nous
Qu’Allah ou Dieu les garde
De finir comme nous
On est des millions d’hommes
Sans terre et sans patrie
Que le monde abandonne
Qui tombent dans l’oubli
Toujours une frontière
Qu’on nous force à franchir
Et toujours des barrières
Pour ne plus revenir