Les paroles de la chanson
« Cherbourg avait raison »
Frida Boccara
Quand Cherbourg nous a vus
Arriver sur le port
Ta main serrant la mienne
Ah le regard perdu
Il a dû dire encore
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux de plus
En voilà deux de plus
Qui brûleront leur cœur
Au feu de la Saint-Jean
Quand aura disparu
Cet insolent bonheur
Qui fait rire les gens
Qui fait rire les gens
Qu’ils croisent dans la rue
Mais Cherbourg a ouvert
Pour nous fêter quand même
Sa grande ombrelle bleue
Et le vent de la mer
Giflant les écoutilles
A cueilli pour nous deux
Des parfums de vanille
Quand Cherbourg nous a vus
Arriver sur le port
Ta main serrant la mienne
Ah le regard perdu
Il a dû dire encore
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux de plus
Qu’au tournant des maisons
Le soleil a brillé
Sur toutes les façades
Un air d’accordéon
Venu du monde entier
Nous a donné l’aubade
Nous a donné l’aubade
Comme à des mariés
Comme à des mariés
Emportant leur amour
Au creux des voiles blanches
Pour aller voyager
Au pays sans retour
Des cent mille dimanches
Des cent mille dimanches
Qui font l’éternité
Mais notre goélette
Malgré ses airs de fête
N’a pas quitté le port
Notre amour est resté
Tout seul au bout du quai
De peur de s’embarquer
Et moi j’en pleure encore
Cherbourg avait raison
Cherbourg avait raison
De nous fêter quand même
Avec ses cargaisons
De coups d’accordéon
Et de coups de sirène
Il n’a pas tant d’amours
Qui en vaillent la peine
Cherbourg avait raison
Cherbourg avait raison
Arriver sur le port
Ta main serrant la mienne
Ah le regard perdu
Il a dû dire encore
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux de plus
En voilà deux de plus
Qui brûleront leur cœur
Au feu de la Saint-Jean
Quand aura disparu
Cet insolent bonheur
Qui fait rire les gens
Qui fait rire les gens
Qu’ils croisent dans la rue
Mais Cherbourg a ouvert
Pour nous fêter quand même
Sa grande ombrelle bleue
Et le vent de la mer
Giflant les écoutilles
A cueilli pour nous deux
Des parfums de vanille
Quand Cherbourg nous a vus
Arriver sur le port
Ta main serrant la mienne
Ah le regard perdu
Il a dû dire encore
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux qui s’aiment
En voilà deux de plus
Qu’au tournant des maisons
Le soleil a brillé
Sur toutes les façades
Un air d’accordéon
Venu du monde entier
Nous a donné l’aubade
Nous a donné l’aubade
Comme à des mariés
Comme à des mariés
Emportant leur amour
Au creux des voiles blanches
Pour aller voyager
Au pays sans retour
Des cent mille dimanches
Des cent mille dimanches
Qui font l’éternité
Mais notre goélette
Malgré ses airs de fête
N’a pas quitté le port
Notre amour est resté
Tout seul au bout du quai
De peur de s’embarquer
Et moi j’en pleure encore
Cherbourg avait raison
Cherbourg avait raison
De nous fêter quand même
Avec ses cargaisons
De coups d’accordéon
Et de coups de sirène
Il n’a pas tant d’amours
Qui en vaillent la peine
Cherbourg avait raison
Cherbourg avait raison