Les paroles de la chanson
« Châteaux de porcelaine »
Jean-Jacques Lafon
Une saison me ramène
En jardin de Touraine
Chemin de coquelicots
Faut-il qu’il m’en souvienne
Assis dessous un chêne
La chanson d’un oiseau
Me rappelle avec peine
La musique et les mots
{Refrain:}
Chambord et Chenonceaux
Où s’ennuyait Verlaine
Châteaux de porcelaine
Que dessinaient Rimbaud
Aux saisons aux châteaux
Où sont les claires fontaines
Quel siècle est sans défaut
Et toi dans ton manteau
Où es-tu toi que j’aime?
Les volets les persiennes
De la maison ancienne
Le grenier tout là-haut
Faut-il qu’il m’en souvienne
Sur le pont des vacances
Où je passe en auto
Je sais que mon enfance
Dort tout au fond de l’eau
{au Refrain}
J’ai trente-cinq ans à peine
Toujours pas la moyenne
La craie sur le tableau
Faut-il qu’il m’en souvienne
La pluie tombe en silence
Sur ces affreux carreaux
Prison de mon enfance
Tu n’étais qu’un préau
(au refrain
Où es-tu toi que j’aime?
En jardin de Touraine
Chemin de coquelicots
Faut-il qu’il m’en souvienne
Assis dessous un chêne
La chanson d’un oiseau
Me rappelle avec peine
La musique et les mots
{Refrain:}
Chambord et Chenonceaux
Où s’ennuyait Verlaine
Châteaux de porcelaine
Que dessinaient Rimbaud
Aux saisons aux châteaux
Où sont les claires fontaines
Quel siècle est sans défaut
Et toi dans ton manteau
Où es-tu toi que j’aime?
Les volets les persiennes
De la maison ancienne
Le grenier tout là-haut
Faut-il qu’il m’en souvienne
Sur le pont des vacances
Où je passe en auto
Je sais que mon enfance
Dort tout au fond de l’eau
{au Refrain}
J’ai trente-cinq ans à peine
Toujours pas la moyenne
La craie sur le tableau
Faut-il qu’il m’en souvienne
La pluie tombe en silence
Sur ces affreux carreaux
Prison de mon enfance
Tu n’étais qu’un préau
(au refrain
Où es-tu toi que j’aime?