Les paroles de la chanson
« Charleville-mézières »
Stéphane Cadé
J’ai roulé doucement vers toi
Dans mon coupé bleu, Citroën
En roulant au bout de mes doigts
Des cigarettes américaines
Je suis revenu dans le film
Cette fable des frères Dardenne
En forme de journal intime
Un love-story dans les Ardennes
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus heureux du monde
Et d’hôtel en hôtel
Ils montent faire l’amour
Il et elle
Nous avons dîné de guimauve
Dans la folle fête foraine
Au milieu des dragons, des fauves
Des barbes à papas, des baleines
La nuit jetait ses filets mauves
Et j’avais ta main dans la mienne
Sous les nuages qui se sauvent
Comme des Rimbaud et Verlaine
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus libres du monde
Et les yeux dans les yeux
Ils disent "Ô mon amour!
Si tu veux"
Ils se revoient le jour suivant
Et le suivant et le suivant
Mais peu à peu le ciel se fronce
C’est un orage qui s’annonce
Rien ne va plus, la pluie, le vent
Les coups tordus, les mots blessants
On laisse mourir les bouquets
Et l’on se quitte sur un quai
J’ai roulé doucement vers toi
Dans mon coupé bleu, Citroën
En regardant autour de moi
Tomber la nuit américaine
Je suis revenu dans le film
Revenu pour le happy end
Refermer ce journal intime
Mon love-story dans les Ardennes
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus heureux du monde
Dans mon coupé bleu, Citroën
En roulant au bout de mes doigts
Des cigarettes américaines
Je suis revenu dans le film
Cette fable des frères Dardenne
En forme de journal intime
Un love-story dans les Ardennes
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus heureux du monde
Et d’hôtel en hôtel
Ils montent faire l’amour
Il et elle
Nous avons dîné de guimauve
Dans la folle fête foraine
Au milieu des dragons, des fauves
Des barbes à papas, des baleines
La nuit jetait ses filets mauves
Et j’avais ta main dans la mienne
Sous les nuages qui se sauvent
Comme des Rimbaud et Verlaine
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus libres du monde
Et les yeux dans les yeux
Ils disent "Ô mon amour!
Si tu veux"
Ils se revoient le jour suivant
Et le suivant et le suivant
Mais peu à peu le ciel se fronce
C’est un orage qui s’annonce
Rien ne va plus, la pluie, le vent
Les coups tordus, les mots blessants
On laisse mourir les bouquets
Et l’on se quitte sur un quai
J’ai roulé doucement vers toi
Dans mon coupé bleu, Citroën
En regardant autour de moi
Tomber la nuit américaine
Je suis revenu dans le film
Revenu pour le happy end
Refermer ce journal intime
Mon love-story dans les Ardennes
Dans la ville la plus triste du monde
Deux amants les plus heureux du monde