Les paroles de la chanson
« Charité »
Devon
Charité
Charité j’esquive les balles, les insultes
Les pleurs de mon fils qui ne sait pas pourquoi
Sa mère à genoux, vers le vide tend le bras
Noyés dans les regards au milieu d’une gare
Au milieu de nulle part
Regarde ma peau, elle a été brulée
Mon coeur calciné et mon âme atrophiée
Par une vie qui a cru bon
De m’oublier, de me laisser chercher
Une issue de secours, une issue au secours
Un morceau de carton comme unique papier
Qui me sert également d’ultime plaidoyer
Tu y lis incrédule, sans guillemets ni virgule
Mon message de détresse qui une seconde te blesse
Qui t’effleures puis te laisse
Les journées s’écoulent, un par un les mois passent
Et je sens chaque nuit la mort qui m’enlace
Elle fait peur à mon fils qui ne sait pas pourquoi
Sa mère, à genoux doit sucer les bourgeois
Quand va t-elle en finir, un beau jour je suppose
Ou peut être attend t-elle que tout mon être explose
Assez des égratinures, j’exige ma sépulture
Allez viens, je t’attends, allez viens, il est temps
Allez viens
Charité j’esquive les balles, les insultes
Les pleurs de mon fils qui ne sait pas pourquoi
Sa mère à genoux, vers le vide tend le bras
Noyés dans les regards au milieu d’une gare
Au milieu de nulle part
Regarde ma peau, elle a été brulée
Mon coeur calciné et mon âme atrophiée
Par une vie qui a cru bon
De m’oublier, de me laisser chercher
Une issue de secours, une issue au secours
Un morceau de carton comme unique papier
Qui me sert également d’ultime plaidoyer
Tu y lis incrédule, sans guillemets ni virgule
Mon message de détresse qui une seconde te blesse
Qui t’effleures puis te laisse
Les journées s’écoulent, un par un les mois passent
Et je sens chaque nuit la mort qui m’enlace
Elle fait peur à mon fils qui ne sait pas pourquoi
Sa mère, à genoux doit sucer les bourgeois
Quand va t-elle en finir, un beau jour je suppose
Ou peut être attend t-elle que tout mon être explose
Assez des égratinures, j’exige ma sépulture
Allez viens, je t’attends, allez viens, il est temps
Allez viens