Les paroles de la chanson
« Chanson pour un peuple perdu »
Graeme Allwright
Sommes-nous à jamais perdus
Sous un ciel absurde et sans âme
Ou serons-nous bientôt rendus
Au pays où gît la flamme?
Les mots tissent notre infini
Sans que la trame se dévoile
Nés pour la gloire ou pour l’oubli
Comme la cendre des étoiles
La chanson qu’aujourd’hui je chante
Est née des sables du rêve
Quand j’écrasais les humbles plantes
Avançant à contre-courant
Qui saura dire où sa lumière
Au fil du temps nous conduira
Quand la neige crépusculaire
Aura dissimulé nos pas?
La main de la nuit nous retient
Pourtant l’aurore nous soulève
Et l’espérance nous soutient
Sur le sentier comme une sève
Nous avons tellement marché
Que nos pieds réclament l’escale
Et si nous avons tant péché
Ce n’est point faute d’idéal
Dans la nuit roule l’Odyssée
Les Dieux renaissent de l’écume
A chaque épreuve traversée
Notre espérance se rallume
Sous un ciel absurde et sans âme
Ou serons-nous bientôt rendus
Au pays où gît la flamme?
Les mots tissent notre infini
Sans que la trame se dévoile
Nés pour la gloire ou pour l’oubli
Comme la cendre des étoiles
La chanson qu’aujourd’hui je chante
Est née des sables du rêve
Quand j’écrasais les humbles plantes
Avançant à contre-courant
Qui saura dire où sa lumière
Au fil du temps nous conduira
Quand la neige crépusculaire
Aura dissimulé nos pas?
La main de la nuit nous retient
Pourtant l’aurore nous soulève
Et l’espérance nous soutient
Sur le sentier comme une sève
Nous avons tellement marché
Que nos pieds réclament l’escale
Et si nous avons tant péché
Ce n’est point faute d’idéal
Dans la nuit roule l’Odyssée
Les Dieux renaissent de l’écume
A chaque épreuve traversée
Notre espérance se rallume