Les paroles de la chanson
« Chanson pour mon enterrement »
Saez
Il y aura des fleurs
Dressées en cathédrale
Et des robes en couleurs
Non pitié, pas de noir
J’ai toujours eu peur du noir
Je préfère la lumière
D’ailleurs, quand j’étais enfant
Je dormais la porte ouverte
De peur que les bandits
Passent par la fenêtre
Pour me voler maman
Il y aura mes amantes
Les amants des amours
Les amours des aimantes
Enfin y aura de l’amour
Et j’espère des enfants
Pour chanter "Mort aux vieux!
Mort aux morts, mort au bon Dieu!"
Et pour pisser derrière l’église
De ce pauvre curé
Qui dit que des bêtises
Qui m’fait perdre mon temps
On jouera du Mozart
Mais pas de requiem
De la Flûte Enchantée
Ou bien mieux du Don Juan
Pour partir conquérant
Pour partir simplement
Sur un air de trompette
Partir à la conquête
Ouais, le coeur à la fête
Il y aura des souvenirs
Il y aura des sourires
De quand j’étais enfant
De quand j’étais printemps
Quand on était au ventre
Quand on était au vent
Non, ne pleure pas mon frère
Non, ne pleure pas ma mère
On sera bientôt ensemble
On remontera le temps
Et on sera en Sicile
Sûr, à la belle étoile
En chantant qu’on est fous
Et sac à dos m’entraîne
On pissera dans la mer
On pêchera des calmars
A faire rougir Némo
On refera notre histoire
En attendant Pierrot
Ami, ne sois pas triste
Tu sais ma vie fut belle
Un peu courte mais magnifique
Comme un soleil levant
Le vent sur l’Atlantique
Je m’en vais en chantant
Vers une autre Amérique
Comme un soleil couchant
Sur le Pacifique
Dressées en cathédrale
Et des robes en couleurs
Non pitié, pas de noir
J’ai toujours eu peur du noir
Je préfère la lumière
D’ailleurs, quand j’étais enfant
Je dormais la porte ouverte
De peur que les bandits
Passent par la fenêtre
Pour me voler maman
Il y aura mes amantes
Les amants des amours
Les amours des aimantes
Enfin y aura de l’amour
Et j’espère des enfants
Pour chanter "Mort aux vieux!
Mort aux morts, mort au bon Dieu!"
Et pour pisser derrière l’église
De ce pauvre curé
Qui dit que des bêtises
Qui m’fait perdre mon temps
On jouera du Mozart
Mais pas de requiem
De la Flûte Enchantée
Ou bien mieux du Don Juan
Pour partir conquérant
Pour partir simplement
Sur un air de trompette
Partir à la conquête
Ouais, le coeur à la fête
Il y aura des souvenirs
Il y aura des sourires
De quand j’étais enfant
De quand j’étais printemps
Quand on était au ventre
Quand on était au vent
Non, ne pleure pas mon frère
Non, ne pleure pas ma mère
On sera bientôt ensemble
On remontera le temps
Et on sera en Sicile
Sûr, à la belle étoile
En chantant qu’on est fous
Et sac à dos m’entraîne
On pissera dans la mer
On pêchera des calmars
A faire rougir Némo
On refera notre histoire
En attendant Pierrot
Ami, ne sois pas triste
Tu sais ma vie fut belle
Un peu courte mais magnifique
Comme un soleil levant
Le vent sur l’Atlantique
Je m’en vais en chantant
Vers une autre Amérique
Comme un soleil couchant
Sur le Pacifique