Les paroles de la chanson
« Chanson pour mars-aile »
Mypollux
Immobile il s’agite
Je ne peux pas voir quand il pleure
Passe-queue les larmes n’ont pas de couleur
Dans le pays où il habite
Ses yeux semblent aussi morts
Que les ridicules copines
Et la pauvre colonne en ruines
Qui masquent le décor
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide, poisson morbide.
Et chaque jour il piétine
Il regarde au travers du verre
Comme s’il cherchait le lit d’une rivière
Pour remplacer sa vieille bassine
Si tu me disais si tu respires
Je saurais si je dois te brancher
Arrête de me faire pitié
Y’a pas de médoc pour le guérir
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide
Et chaque jour
Il regarde au travers du verre
Comme s’il cherchait le lit d’une rivière
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide, poisson morbide
Je ne peux pas voir quand il pleure
Passe-queue les larmes n’ont pas de couleur
Dans le pays où il habite
Ses yeux semblent aussi morts
Que les ridicules copines
Et la pauvre colonne en ruines
Qui masquent le décor
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide, poisson morbide.
Et chaque jour il piétine
Il regarde au travers du verre
Comme s’il cherchait le lit d’une rivière
Pour remplacer sa vieille bassine
Si tu me disais si tu respires
Je saurais si je dois te brancher
Arrête de me faire pitié
Y’a pas de médoc pour le guérir
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide
Et chaque jour
Il regarde au travers du verre
Comme s’il cherchait le lit d’une rivière
Des tâches sur le pif, maniaco-dépressif
Tu as l’air stupide, poisson morbide