Les paroles de la chanson
« Chanson pour jean-marie koltès »
Claude Besson
Chanson pour Jean-Marie Koltès
Bonheur éternel à celui-là qui
Toucha de sa main l’arbre à poésie
Je veux dire une poignée de tendresse
Un don de Brassens à Jean-Marie Koltès
A Jean-Marie Koltès
Toi qui parles souvent de longs voyages
Surtout de celui qui mène aux nuages
As-tu pensé au boulot qui te tombe?
Passer le relais à tous les gars du Monde
A tous les gars du Monde.
A la partager t’y passera ta vie
Garde-toi de la tendre à n’importe qui
C’est pas tous les jours que de tels trésors
Viennent décorer ta pogne de cet or
Ta pogne de cet or.
Honneurs éternels à celle éconduite
Le temps que ta main fasse sa visite
Cet amour-là ce n’est pas infidèle
C’est comme la laisser pour un violoncelle
-sser pour un violoncelle.
Peut-être que Georges aurait préféré
Mettre les menottes à ta dulcinée
J’aurais alors caressé sans vergogne
Le doux désir de croquer dans cette pogne
-Croquer dans cette pogne.
Mais le sort a voulu que ce soit toi
L’heureux élu, le quidam de son choix
C’est pas la jalousie qui me rend fou
Mais ce jour-là j’aurais voulu être vous
-Rais voulu être vous.
D’avoir un jour pu crocher dans la tienne
C’est comme si j’avais caressé la sienne
Maintenant je fais partie de la bande
Je l’offrirai toujours à ceux qui la d’mandent
-Jours à ceux qui la d’mandent.
Quand les mains des hommes,font le tour du Monde
C’est qu’ils ont rangé leurs pierres et leurs frondes
Les enfants s’envolent avec les oiseaux
On dirait des nuages couleur de peau
-ages couleur de peau
Bonheur éternel à celui-là qui
Toucha de sa main l’arbre à poésie
Je veux dire une poignée de tendresse
Un don de Brassens à Jean-Marie Koltès
A Jean-Marie Koltès!
Bonheur éternel à celui-là qui
Toucha de sa main l’arbre à poésie
Je veux dire une poignée de tendresse
Un don de Brassens à Jean-Marie Koltès
A Jean-Marie Koltès
Toi qui parles souvent de longs voyages
Surtout de celui qui mène aux nuages
As-tu pensé au boulot qui te tombe?
Passer le relais à tous les gars du Monde
A tous les gars du Monde.
A la partager t’y passera ta vie
Garde-toi de la tendre à n’importe qui
C’est pas tous les jours que de tels trésors
Viennent décorer ta pogne de cet or
Ta pogne de cet or.
Honneurs éternels à celle éconduite
Le temps que ta main fasse sa visite
Cet amour-là ce n’est pas infidèle
C’est comme la laisser pour un violoncelle
-sser pour un violoncelle.
Peut-être que Georges aurait préféré
Mettre les menottes à ta dulcinée
J’aurais alors caressé sans vergogne
Le doux désir de croquer dans cette pogne
-Croquer dans cette pogne.
Mais le sort a voulu que ce soit toi
L’heureux élu, le quidam de son choix
C’est pas la jalousie qui me rend fou
Mais ce jour-là j’aurais voulu être vous
-Rais voulu être vous.
D’avoir un jour pu crocher dans la tienne
C’est comme si j’avais caressé la sienne
Maintenant je fais partie de la bande
Je l’offrirai toujours à ceux qui la d’mandent
-Jours à ceux qui la d’mandent.
Quand les mains des hommes,font le tour du Monde
C’est qu’ils ont rangé leurs pierres et leurs frondes
Les enfants s’envolent avec les oiseaux
On dirait des nuages couleur de peau
-ages couleur de peau
Bonheur éternel à celui-là qui
Toucha de sa main l’arbre à poésie
Je veux dire une poignée de tendresse
Un don de Brassens à Jean-Marie Koltès
A Jean-Marie Koltès!