Les paroles de la chanson
« Chanson manquée »
Georges Chelon
Me manquent des matins
Et encore des matins
Qui vont me faire vieillir
Qui vont me faire durcir
Le cœur, le corps, l’idée
Que j’ai sur les humains
Pour pouvoir un matin
Avoir des choses à dire
Me manquent des chagrins
Et encore des chagrins
Qui vont me faire gémir
Qui vont me faire maudire
La fille, l’ami, le jour
Qui m’a fait voir le jour
Pour mieux parler d’amour
Et pour ne plus en rire
Me manquent aussi
Des coups de pieds au cul
Que je n’ai pas reçus
Mais que je recevrai
Je compte en plus
Les coups inattendus
De gens inattendus
Qu’il me faudra parer
Me manqueront toujours
Au-dessus de ma tête
Ces deux trois centimètres
Qui m’ont rapetissé
Et qui ont fait de moi
Un chanteur éprouvette
Alors que j’ai la tête
Sur le point d’éclater
Me manquent en plus
Les rudiments sommaires
De musiques primaires
Pour parfaire mes envies
Et je me vois déjà
Mourir comme un idiot
Assis à mon piano
Cherchant toujours le mi
Voilà ce qu’il faudrait
Voilà ce qu’il faudra
Pour qu’en dix ans de là
Je ne sois pas encore
En train de faire rimer
Amour avec toujours
Amour avec tambour
Aimer avec regret
Centimètres en plus
Ou centimètres en moins
Quels que soient mes moyens
Je veux aller plus loin
Si j’ai le tiers de lui
Si j’ai le quart de toi
C’est que je fais mon toit
Sur ce qui est déjà
Voilà pourquoi je ne désire pas
Qu’on me compare déjà
A des plus vieux que moi
Voilà pourquoi j’aimerais simplement
Qu’on me laisse le temps
Le temps de rire
Et le temps de pleurer
Le temps des souvenirs
Et de vous retrouver
Le temps de rire
Et le temps de pleurer
Le temps des souvenirs
Pour mieux vous en parler
Et encore des matins
Qui vont me faire vieillir
Qui vont me faire durcir
Le cœur, le corps, l’idée
Que j’ai sur les humains
Pour pouvoir un matin
Avoir des choses à dire
Me manquent des chagrins
Et encore des chagrins
Qui vont me faire gémir
Qui vont me faire maudire
La fille, l’ami, le jour
Qui m’a fait voir le jour
Pour mieux parler d’amour
Et pour ne plus en rire
Me manquent aussi
Des coups de pieds au cul
Que je n’ai pas reçus
Mais que je recevrai
Je compte en plus
Les coups inattendus
De gens inattendus
Qu’il me faudra parer
Me manqueront toujours
Au-dessus de ma tête
Ces deux trois centimètres
Qui m’ont rapetissé
Et qui ont fait de moi
Un chanteur éprouvette
Alors que j’ai la tête
Sur le point d’éclater
Me manquent en plus
Les rudiments sommaires
De musiques primaires
Pour parfaire mes envies
Et je me vois déjà
Mourir comme un idiot
Assis à mon piano
Cherchant toujours le mi
Voilà ce qu’il faudrait
Voilà ce qu’il faudra
Pour qu’en dix ans de là
Je ne sois pas encore
En train de faire rimer
Amour avec toujours
Amour avec tambour
Aimer avec regret
Centimètres en plus
Ou centimètres en moins
Quels que soient mes moyens
Je veux aller plus loin
Si j’ai le tiers de lui
Si j’ai le quart de toi
C’est que je fais mon toit
Sur ce qui est déjà
Voilà pourquoi je ne désire pas
Qu’on me compare déjà
A des plus vieux que moi
Voilà pourquoi j’aimerais simplement
Qu’on me laisse le temps
Le temps de rire
Et le temps de pleurer
Le temps des souvenirs
Et de vous retrouver
Le temps de rire
Et le temps de pleurer
Le temps des souvenirs
Pour mieux vous en parler