Les paroles de la chanson
« Chanson désenchantée »
Phil Barney
Moi qui t’avais confié la lourde tâche
D’être parfaite jusqu’au dernier matin
Si avant l’heure tous nos liens se détachent
C’est que l’amour ne va pas aussi loin
Pourtant, le monde fut une île déserte
Où je vivais rien qu’au fond de tes yeux
Du vert au gris, j’ai pas sonné l’alerte
Tant qu’ mon amour n’y voyait que du feu
{Refrain:}
De tous ces mots qui font si mal au cœur
Et qui me viennent avant de m’en aller
T’as dit les pires, j’écrirai les meilleurs
Mais il est tard, ils sont désenchantés
Moi qui voulais voir le soleil en face
C’est en enfer que tu m’as délaissé
J’ sais plus quoi dire de ces anges qui passent
Laissant sur toi la trace de leurs baisers
Des souffles chauds aux sourires qui s’écaillent
De l’eau des larmes à l’encre des chansons
L’heure est venue que tu me lises en braille
Tant j’ai usé de gommes et de crayons
{au Refrain}
Toi qui m’avais confié la lourde tâche
D’être parfait jusqu’au dernier matin
Si avant l’heure souvent nos mains se lâchent
C’est que la haine va quelquefois trop loin
{au Refrain}
Désenchantés... désenchantés... désenchantés
D’être parfaite jusqu’au dernier matin
Si avant l’heure tous nos liens se détachent
C’est que l’amour ne va pas aussi loin
Pourtant, le monde fut une île déserte
Où je vivais rien qu’au fond de tes yeux
Du vert au gris, j’ai pas sonné l’alerte
Tant qu’ mon amour n’y voyait que du feu
{Refrain:}
De tous ces mots qui font si mal au cœur
Et qui me viennent avant de m’en aller
T’as dit les pires, j’écrirai les meilleurs
Mais il est tard, ils sont désenchantés
Moi qui voulais voir le soleil en face
C’est en enfer que tu m’as délaissé
J’ sais plus quoi dire de ces anges qui passent
Laissant sur toi la trace de leurs baisers
Des souffles chauds aux sourires qui s’écaillent
De l’eau des larmes à l’encre des chansons
L’heure est venue que tu me lises en braille
Tant j’ai usé de gommes et de crayons
{au Refrain}
Toi qui m’avais confié la lourde tâche
D’être parfait jusqu’au dernier matin
Si avant l’heure souvent nos mains se lâchent
C’est que la haine va quelquefois trop loin
{au Refrain}
Désenchantés... désenchantés... désenchantés