Les paroles de la chanson
« Chanson de l'ami »
Nicolas Bacchus
Appelle-moi ton amour, appelle-moi ton ami
Qu’importe, si ton œil s’allume à mes retours
Que je sois ton ami, que je sois ton amour
Que faire de tant de mots quand on a tant d’envies
Tant de gestes muets au fil de nos désirs
N’aie crainte d’en changer, le corps a ses usages
Mon amour, mon ami, viens ou fais tes bagages
Rester ne vaut que si l’on sait qu’on peut partir
Rester ne vaut que si l’on sait qu’on peut partir
Fais de moi ton ami, fais de moi ton amour
Mais n’abandonnons pas nos rêves de Barcelone
Nos abus, nos ébats, aux décors de Garonne
Nos réveils étonnés dans les trop petits jours
Si ma peau se ranime à ta peau d’aube nue
Remettons à plus tard les vocables en listes
II sera plus que temps dans des chansons plus tristes
De nommer en pleurant ce qu’on aura perdu
Si ma peau se ranime à ta peau d’aube nue
Ton amour, ton ami, ton égal ou ton chien
Nos ventres diront tout, sans y voir de promesse
Libres sont nos regards, et sans fard nos caresses
Et notre histoire les suit. Jusqu’où? Je n’en sais rien
Aucun mot ne mettra nos longues nuits en laisse
Le complice qui voit, qui écoute et comprend
Préfère l’incertain d’un sourire en suspens
Pour se rêver l’ami quand ton amour le laisse
Aucun mot ne mettra nos longues nuits en laisse
Ne sois pas mon amour, ne sois pas mon ami
Écrivons sans le lire notre vivant poème
Soyons doux, soyons pires ou rien, soyons nous-mêmes
Et faisons chaque jour ce qu’on n’a jamais dit
Je serai ton ami, je serai ton amour
Ou les deux à la fois, chacun plus qu’à mon tour
Et s’il faut faire un choix, si je n’ai qu’un recours
Je veux rester l’ami à qui tu fais l’amour
Je veux rester l’ami à qui tu fais l’amour
Qu’importe, si ton œil s’allume à mes retours
Que je sois ton ami, que je sois ton amour
Que faire de tant de mots quand on a tant d’envies
Tant de gestes muets au fil de nos désirs
N’aie crainte d’en changer, le corps a ses usages
Mon amour, mon ami, viens ou fais tes bagages
Rester ne vaut que si l’on sait qu’on peut partir
Rester ne vaut que si l’on sait qu’on peut partir
Fais de moi ton ami, fais de moi ton amour
Mais n’abandonnons pas nos rêves de Barcelone
Nos abus, nos ébats, aux décors de Garonne
Nos réveils étonnés dans les trop petits jours
Si ma peau se ranime à ta peau d’aube nue
Remettons à plus tard les vocables en listes
II sera plus que temps dans des chansons plus tristes
De nommer en pleurant ce qu’on aura perdu
Si ma peau se ranime à ta peau d’aube nue
Ton amour, ton ami, ton égal ou ton chien
Nos ventres diront tout, sans y voir de promesse
Libres sont nos regards, et sans fard nos caresses
Et notre histoire les suit. Jusqu’où? Je n’en sais rien
Aucun mot ne mettra nos longues nuits en laisse
Le complice qui voit, qui écoute et comprend
Préfère l’incertain d’un sourire en suspens
Pour se rêver l’ami quand ton amour le laisse
Aucun mot ne mettra nos longues nuits en laisse
Ne sois pas mon amour, ne sois pas mon ami
Écrivons sans le lire notre vivant poème
Soyons doux, soyons pires ou rien, soyons nous-mêmes
Et faisons chaque jour ce qu’on n’a jamais dit
Je serai ton ami, je serai ton amour
Ou les deux à la fois, chacun plus qu’à mon tour
Et s’il faut faire un choix, si je n’ai qu’un recours
Je veux rester l’ami à qui tu fais l’amour
Je veux rester l’ami à qui tu fais l’amour