Les paroles de la chanson
« Chanson à boire »
L'Affaire Louis Trio
Venez écouter cette sombre histoire
Tout ça n’est pas beau mais faut l’savoir
Je m’souviens encore de ses années noires
Où au fond d’un verre je vivais d’espoir
J’étais ivre mort du matin au soir
A rouler par terre en rêvant de gloire
Et quand je jouais du piano
Toutes les touches étaient noires
Et les gens venaient me voire
Je leur chantais l’El Dorado
Et ils pouvaient y croire
Contre un autre verre à boire
J’étais le plus fort solide comme un roc
Buvant de la bière jusqu’au chant du coq
Je chantais encore quand un type m’a dit
Tu ferais mieux d’te taire si tu tiens à la vie
Et je lui ai joué du piano
Toutes les touches étaient noires
Et les gens sortaient du bar
Je lui chantais l’El Dorado
Sans qu’il ait l’air d’y croire
Sans m’offrir un verre à boire
C’est quand je suis mort que j’ai tout compris
J’avais quitté l’enfer pour le paradis
Pas plus de remords sous mon auréole
Que de montgolfières dans verre d’alcool
Et quand je jouais du piano
Toutes les touches étaient noire
Et les anges venaient me voir
Je leur chantais l’El Dorado
Et ils pouvaient y croire
Contre un autre verre à boire
Tout ça n’est pas beau mais faut l’savoir
Je m’souviens encore de ses années noires
Où au fond d’un verre je vivais d’espoir
J’étais ivre mort du matin au soir
A rouler par terre en rêvant de gloire
Et quand je jouais du piano
Toutes les touches étaient noires
Et les gens venaient me voire
Je leur chantais l’El Dorado
Et ils pouvaient y croire
Contre un autre verre à boire
J’étais le plus fort solide comme un roc
Buvant de la bière jusqu’au chant du coq
Je chantais encore quand un type m’a dit
Tu ferais mieux d’te taire si tu tiens à la vie
Et je lui ai joué du piano
Toutes les touches étaient noires
Et les gens sortaient du bar
Je lui chantais l’El Dorado
Sans qu’il ait l’air d’y croire
Sans m’offrir un verre à boire
C’est quand je suis mort que j’ai tout compris
J’avais quitté l’enfer pour le paradis
Pas plus de remords sous mon auréole
Que de montgolfières dans verre d’alcool
Et quand je jouais du piano
Toutes les touches étaient noire
Et les anges venaient me voir
Je leur chantais l’El Dorado
Et ils pouvaient y croire
Contre un autre verre à boire