Les paroles de la chanson
« Champs du possible »
Bernard Lavilliers
Devant nous l’an 2000, quelques heures nous séparent.
Quel ordre se profile, quel rapport de pouvoir?
Devant nous l’an 2000. Qui aurait pu prévoir
Qu’il ne restait qu’un fil accroché à l’histoire?
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.
Devant nous l’an 2000 et le monde en furie,
Le grand ordre mondial et les nations unies.
Pas de contre-pouvoir aux dollars qui défilent.
Et puis dans les couloirs les banquiers qui se faufilent.
Derrière nous 2000 ans et des années lumières,
Quelques tyrans sanglants, quelque beaux militaires.
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.
Devant nous l’an 2000 et le champ du possible.
Il faut revisiter en partant du sensible.
Aux artistes il échoit des choses à inventer
Et prendre quelques rêves pour la réalité.
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.
Quel ordre se profile, quel rapport de pouvoir?
Devant nous l’an 2000. Qui aurait pu prévoir
Qu’il ne restait qu’un fil accroché à l’histoire?
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.
Devant nous l’an 2000 et le monde en furie,
Le grand ordre mondial et les nations unies.
Pas de contre-pouvoir aux dollars qui défilent.
Et puis dans les couloirs les banquiers qui se faufilent.
Derrière nous 2000 ans et des années lumières,
Quelques tyrans sanglants, quelque beaux militaires.
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.
Devant nous l’an 2000 et le champ du possible.
Il faut revisiter en partant du sensible.
Aux artistes il échoit des choses à inventer
Et prendre quelques rêves pour la réalité.
Les champs magnétiques de ma déraison.
Les voix qui me dictent les cris d’alarme,
Les mots d’amour,
Qui me hantent, qui m’entourent, qui me hantent,
Qui m’entourent.