Les paroles de la chanson
« Ceux qui sont en laisse »
Saez
Tu voulais du médiocre et moi j’en avais pas
Tu voulais l’univers et moi j’avais que moi
Tu voulais le silence quand j’étais que musique
Qu’on marche parallèle quand j’allais qu’à l’oblique
Tu voulais des rivières au milieu du désert
Tu voulais des voyages moi j’étais sédentaire
Que je fasse des chansons qui m’emmènent au sourire
J’y peux rien moi je n’ai que des larmes à leur dire
Et des plaines de pluie pour unique empire
Quand je serai parti que lira mes poèmes
Un autre romantique qui se verra en moi
il se dira s’en doute oh c’est beau comme il l’aime
Mais qu’il sache que je n’ai jamais aimé que moi
Qu’au lit ou dans le coeur l’égoïsme est la mère des générosités
Que les femmes me pardonnent de n’être fait pour elles
D’être comme un nuage qui recherche son ciel
De n’être qu’un navire toujours à la détresse
Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse
Pardonnez moi vous tous qui vous liez les mains
Vous qui pensez qu’à deux vous ferez mieux le chemin
Vous qui pensez que l’autre vous sauvera la peau
Alors que de votre âme il fera des lambeaux
En amour que l’on soit le plus grand des guerriers
Ou la triste brebis qui cherche le berger
On finit tous à terre à chercher les morceaux
Au bord du précipice à deux pas du grand saut
A deux pas du tombeau.
Tu voulais l’univers et moi j’avais que moi
Tu voulais le silence quand j’étais que musique
Qu’on marche parallèle quand j’allais qu’à l’oblique
Tu voulais des rivières au milieu du désert
Tu voulais des voyages moi j’étais sédentaire
Que je fasse des chansons qui m’emmènent au sourire
J’y peux rien moi je n’ai que des larmes à leur dire
Et des plaines de pluie pour unique empire
Quand je serai parti que lira mes poèmes
Un autre romantique qui se verra en moi
il se dira s’en doute oh c’est beau comme il l’aime
Mais qu’il sache que je n’ai jamais aimé que moi
Qu’au lit ou dans le coeur l’égoïsme est la mère des générosités
Que les femmes me pardonnent de n’être fait pour elles
D’être comme un nuage qui recherche son ciel
De n’être qu’un navire toujours à la détresse
Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse
Pardonnez moi vous tous qui vous liez les mains
Vous qui pensez qu’à deux vous ferez mieux le chemin
Vous qui pensez que l’autre vous sauvera la peau
Alors que de votre âme il fera des lambeaux
En amour que l’on soit le plus grand des guerriers
Ou la triste brebis qui cherche le berger
On finit tous à terre à chercher les morceaux
Au bord du précipice à deux pas du grand saut
A deux pas du tombeau.