Les paroles de la chanson
« Ceux qui se trouve »
Pierre Bachelet
Ceux qui se trouvent,
Tous leurs gestes le prouvent,
Sont comme d’un autre monde
Que notre monde à nous
Comme des extra-terrestres
Dans un monde meilleur
Comme au cœur d’une bulle
Où l’amour funambule
Les protègerait d’ailleurs
Ceux qui se trouvent,
Tous leurs regards le prouvent,
Sont vraiment éclairés
Par une lumière étrange
Où même leurs yeux croisés
Deviennent du Michel-Ange
Où même leurs couleurs
Deviennent italiennes
Écrasées de chaleur
Ceux qui se trouvent,
Tous leurs désirs le prouvent,
Ont comme des dents de lait
Dans des sourires de loups
Leurs sourires incomplets
Se racontent par cœur
Tous leurs secrets infimes
Leurs univers intimes
Et leur tendre impudeur
Et nous, on se rappelle
Ces moments d’absolu
Qui nous donnaient des ailes
Dans la laideur des rues
Et nous autres, on tressaille
De revoir tout à coup
L’immense feu de paille
Qu’on a toujours en nous
Ceux qui se trouvent,
Leur silence le prouve,
Comme unique d’entre eux
Comme dans une autre langue
Et leurs lèvres par jeu
Ont des saveurs de mangue
Qu’ils goûtent avec lenteur
Pour que le temps qui passe
N’efface leur bonheur
Ceux qui se trouvent
Ceux qui se trouvent...
Tous leurs gestes le prouvent,
Sont comme d’un autre monde
Que notre monde à nous
Comme des extra-terrestres
Dans un monde meilleur
Comme au cœur d’une bulle
Où l’amour funambule
Les protègerait d’ailleurs
Ceux qui se trouvent,
Tous leurs regards le prouvent,
Sont vraiment éclairés
Par une lumière étrange
Où même leurs yeux croisés
Deviennent du Michel-Ange
Où même leurs couleurs
Deviennent italiennes
Écrasées de chaleur
Ceux qui se trouvent,
Tous leurs désirs le prouvent,
Ont comme des dents de lait
Dans des sourires de loups
Leurs sourires incomplets
Se racontent par cœur
Tous leurs secrets infimes
Leurs univers intimes
Et leur tendre impudeur
Et nous, on se rappelle
Ces moments d’absolu
Qui nous donnaient des ailes
Dans la laideur des rues
Et nous autres, on tressaille
De revoir tout à coup
L’immense feu de paille
Qu’on a toujours en nous
Ceux qui se trouvent,
Leur silence le prouve,
Comme unique d’entre eux
Comme dans une autre langue
Et leurs lèvres par jeu
Ont des saveurs de mangue
Qu’ils goûtent avec lenteur
Pour que le temps qui passe
N’efface leur bonheur
Ceux qui se trouvent
Ceux qui se trouvent...