Les paroles de la chanson
« Cerises en hiver »
Jean-François Battez
Tous les deux pieds nus sur la plage on marche la main dans la main
Nous deux on s’en fout d’être sage du moment que l’on se sent bien
Ils chuchotent à notre passage ils s’interrogent et ne voient rien
L’amour est notre paysage et la tendresse comme un chemin
Il a neigé dans mes cheveux et ton sourire a des fossettes
A qui sait rester amoureux vieillir est un long jour de fête
Où est le mal je ne sais pas qu’à notre âge on aime s’embrasser
Puisque notre bonheur est là pourquoi faudrait-il le cacher
Même si les enfants en partant ont fait de papa un papy
Une mamie de leur maman sans le vouloir vraiment
Il a neigé dans mes cheveux et ton sourire a des fossettes
A qui sait rester amoureux vieillir est un long jour de fête
J’ai balayé les feuilles mortes que l’automne avait jaunies
Et j’ai planté devant ma porte un cerisier pour l’eau de vie
Dans le jardin pour que tu sortes c’est mon sourire qui a fleuri
Parmi les fruits de toutes sortes nous, c’est l’amour qu’on a cueilli
Il est bien là le grand mystère qui donne recette au bonheur
On n’a pas l’âge de ses artères quand on a celui de son cœur
Et tant que tournera la terre sifflera le merle moqueur
Mûriront cerises en hiver au soleil de l’amour vainqueur
Nous deux on s’en fout d’être sage du moment que l’on se sent bien
Ils chuchotent à notre passage ils s’interrogent et ne voient rien
L’amour est notre paysage et la tendresse comme un chemin
Il a neigé dans mes cheveux et ton sourire a des fossettes
A qui sait rester amoureux vieillir est un long jour de fête
Où est le mal je ne sais pas qu’à notre âge on aime s’embrasser
Puisque notre bonheur est là pourquoi faudrait-il le cacher
Même si les enfants en partant ont fait de papa un papy
Une mamie de leur maman sans le vouloir vraiment
Il a neigé dans mes cheveux et ton sourire a des fossettes
A qui sait rester amoureux vieillir est un long jour de fête
J’ai balayé les feuilles mortes que l’automne avait jaunies
Et j’ai planté devant ma porte un cerisier pour l’eau de vie
Dans le jardin pour que tu sortes c’est mon sourire qui a fleuri
Parmi les fruits de toutes sortes nous, c’est l’amour qu’on a cueilli
Il est bien là le grand mystère qui donne recette au bonheur
On n’a pas l’âge de ses artères quand on a celui de son cœur
Et tant que tournera la terre sifflera le merle moqueur
Mûriront cerises en hiver au soleil de l’amour vainqueur
