Les paroles de la chanson
« Cerebellum »
Eths
Comme un enfant tu meurs à moitié maintenant
Tu classes tes mouches dedans.
Sans un geste acclames ta peste qu’elle finisse assise
Dans ta tête tu pues le vide et la pisse
Oui, Alois est éprise
Alois est avide, polarise
Cette hyène obscène de plus se divise
Je sais qu’elle est en toi, je sais.
Ta meilleure amie
Dégénérative te conduit au lit
Le dernier jour ton âme sœur te croquera le cœur
Si tu as peur lentement je ferais tourner l’heure
Il est trop tard.
Anamnésis de toi à chaque repas du soir
L’attachée se goinfre de l’empire du savoir.
Ton nez souffle l’humeur baveuse
Comme une houle crémeuse je suis nauséeuse.
Boisson aux mille leçons, quand le cartilage cède
Le liquide à méninges régale les anciens petits singes.
Imite moi, refais moi, lèche ta vie finis la.
Cérebellum tourne moi
Cérebellum ouvre toi
Cérebellum tourne sur lui même
Cérebellum.
A quoi tu penses? Vers qui tu chantes? Quels sont ces gens qui te hantent?
Les déserts t’ouvrent leurs portes closes
Les puits sèchent dans ta tête.
Demain tu m’oublieras encore, une nouvelle histoire pour un nouveau jour et toujours les mêmes mots dans ta bouche, un nouveau visage pour…
Une même personne, une nouvelle voix pour une même parole, chaque seconde t’abandonne à ta convection encéphale.
Mal caduc, mal sacré, chaque point chaud inonde le fond de tes yeux,
Orage cérébral pour toi l’otage mental.
L’éternité est imminente.
Le temps urgent te fait maintenant suspendre
Attends-tu le silence?
Comment savoir, ton regard me parle à peine.
Comment savoir quand tout s’efface et recommence.
Comment savoir, ton regard me parle à peine.
Tu classes tes mouches dedans.
Sans un geste acclames ta peste qu’elle finisse assise
Dans ta tête tu pues le vide et la pisse
Oui, Alois est éprise
Alois est avide, polarise
Cette hyène obscène de plus se divise
Je sais qu’elle est en toi, je sais.
Ta meilleure amie
Dégénérative te conduit au lit
Le dernier jour ton âme sœur te croquera le cœur
Si tu as peur lentement je ferais tourner l’heure
Il est trop tard.
Anamnésis de toi à chaque repas du soir
L’attachée se goinfre de l’empire du savoir.
Ton nez souffle l’humeur baveuse
Comme une houle crémeuse je suis nauséeuse.
Boisson aux mille leçons, quand le cartilage cède
Le liquide à méninges régale les anciens petits singes.
Imite moi, refais moi, lèche ta vie finis la.
Cérebellum tourne moi
Cérebellum ouvre toi
Cérebellum tourne sur lui même
Cérebellum.
A quoi tu penses? Vers qui tu chantes? Quels sont ces gens qui te hantent?
Les déserts t’ouvrent leurs portes closes
Les puits sèchent dans ta tête.
Demain tu m’oublieras encore, une nouvelle histoire pour un nouveau jour et toujours les mêmes mots dans ta bouche, un nouveau visage pour…
Une même personne, une nouvelle voix pour une même parole, chaque seconde t’abandonne à ta convection encéphale.
Mal caduc, mal sacré, chaque point chaud inonde le fond de tes yeux,
Orage cérébral pour toi l’otage mental.
L’éternité est imminente.
Le temps urgent te fait maintenant suspendre
Attends-tu le silence?
Comment savoir, ton regard me parle à peine.
Comment savoir quand tout s’efface et recommence.
Comment savoir, ton regard me parle à peine.