Les paroles de la chanson
« Cent ans »
Andrée Watters
On m’a donné jusqu’à cent ans
Pour pouvoir tout imaginer
Pour perdre mon temps à écouter
Le son que la terre fait en tournant
À essayer de décrocher
La lune que tout le monde s’arrache
Avant que personne d’autre ne sache
Qu’on l’avait déjà explorée
Hier je me suis perdue
En m’envolant dans les airs
Je ne me suis même pas reconnue
En reposant les pieds sur terre
Où est-ce qu’on s’en va
Quand on a que cent années
Si on ne revenait pas une fois
Qu’on a pris notre envolée
J’ai peur de me retrouver sans temps
Pour apprendre à contrôler
Chaque fréquence de sentiment
Chaque passion inavouée
Pour aller jusqu’à deviner
Sans que personne d’autre ne sache
Tout ce que les mots me cachent
Sans qu’on les ait prononcés
Hier je me suis perdue
En m’envolant dans les airs
Je ne me suis même pas reconnue
En reposant les pieds sur terre
Où est-ce qu’on s’en va
Quand on a que cent années
Si on ne revenait pas une fois
Qu’on a pris notre envolée
Et si enfin on s’entend
Pour pouvoir tout imaginer
J’aurai donc tout mon temps
Pour m’inventer d’autres années
Pour pouvoir tout imaginer
Pour perdre mon temps à écouter
Le son que la terre fait en tournant
À essayer de décrocher
La lune que tout le monde s’arrache
Avant que personne d’autre ne sache
Qu’on l’avait déjà explorée
Hier je me suis perdue
En m’envolant dans les airs
Je ne me suis même pas reconnue
En reposant les pieds sur terre
Où est-ce qu’on s’en va
Quand on a que cent années
Si on ne revenait pas une fois
Qu’on a pris notre envolée
J’ai peur de me retrouver sans temps
Pour apprendre à contrôler
Chaque fréquence de sentiment
Chaque passion inavouée
Pour aller jusqu’à deviner
Sans que personne d’autre ne sache
Tout ce que les mots me cachent
Sans qu’on les ait prononcés
Hier je me suis perdue
En m’envolant dans les airs
Je ne me suis même pas reconnue
En reposant les pieds sur terre
Où est-ce qu’on s’en va
Quand on a que cent années
Si on ne revenait pas une fois
Qu’on a pris notre envolée
Et si enfin on s’entend
Pour pouvoir tout imaginer
J’aurai donc tout mon temps
Pour m’inventer d’autres années