Les paroles de la chanson
« Celle que tu n'es pas »
Nicola Ciccone
Tu peins tes yeux d’un rouge lucide
Tu couvres tes lèvres pour fuir le vide
Tu colores tes cheveux pour tuer la peur
Tu maquilles tous tes rêves acides
T’habilles en toi tout ce qui est fragile
Tu te donnes des airs pour protéger ton cœur
Mais au fond de toi c’est tout le contraire
Tu vis la honte et la misère
Tes songes se perdent et ne font que pleurer
Tu joues les victimes éphémères
Tu oses renier jusqu’à ta mère
Prête à mourir pour plaire et être aimée
Celle que tu n’es pas
Celle que jamais tu ne seras
Celle que tu n’es pas, contre toi s’évade
Celle que tu n’es pas
Celle que ton visage déçoit
Celle que tu n’es pas à moi suffira
Tu passes ta vie à faire la belle
Tu laisses les hommes t’être infidèles
Tu fais semblant que tes forte, que tu comprends
Tu te promènes entre deux visages
Tu joues la pute pis l’enfant sage
Tu souris quand t’as froid pis mal en dedans
Mais au fond de toi c’est tout le contraire
Chaque jour ressemble à un enfer
Doucement, tu meurs consumée par le feu
Tu maudis Dieu dans tes prières
Tu jures vengeance à l’univers
Comme si la vie n’était pour toi qu’un jeu
Tu couvres tes lèvres pour fuir le vide
Tu colores tes cheveux pour tuer la peur
Tu maquilles tous tes rêves acides
T’habilles en toi tout ce qui est fragile
Tu te donnes des airs pour protéger ton cœur
Mais au fond de toi c’est tout le contraire
Tu vis la honte et la misère
Tes songes se perdent et ne font que pleurer
Tu joues les victimes éphémères
Tu oses renier jusqu’à ta mère
Prête à mourir pour plaire et être aimée
Celle que tu n’es pas
Celle que jamais tu ne seras
Celle que tu n’es pas, contre toi s’évade
Celle que tu n’es pas
Celle que ton visage déçoit
Celle que tu n’es pas à moi suffira
Tu passes ta vie à faire la belle
Tu laisses les hommes t’être infidèles
Tu fais semblant que tes forte, que tu comprends
Tu te promènes entre deux visages
Tu joues la pute pis l’enfant sage
Tu souris quand t’as froid pis mal en dedans
Mais au fond de toi c’est tout le contraire
Chaque jour ressemble à un enfer
Doucement, tu meurs consumée par le feu
Tu maudis Dieu dans tes prières
Tu jures vengeance à l’univers
Comme si la vie n’était pour toi qu’un jeu