Les paroles de la chanson
« Ce soir, je pense à mon pays »
Marie Dubas
Quand la nuit tombe sur la ville,
Que l’ombre descend dans la rue,
Je suis dans ma chambre, tranquille.
Et, seule, je suis perdue.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Ce soir, je rêve à toi, chéri
Et murmure ton nom, tout bas.
C’est que je n’ai qu’un seul espoir,
L’espoir si doux de te revoir.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Dans la nuit calme et brumeuse,
Seule, j’attends le point du jour.
Mais, dans mon cœur, brûle en veilleuse
La flamme de l’amour.
Ce soir, je pense à toi, chéri,
A tous mes amis, là-bas.
Ce soir, je pense à mon pays
Et murmure ton nom, tout bas.
C’est que je n’ai qu’un seul espoir,
L’espoir si doux de vous revoir.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Mais je sais bien qu’un soir viendra
Où, dans ma patrie, douce et chaude,
Je pourrai retrouver chez moi
Tout mon bonheur d’hier.
Un soir, je s’rai dans mon pays,
Près de mes amis, là-bas.
Je serai dans tes bras, chéri,
Et te redirai, tout bas,
Les mots que, dans cette autre vie,
Je te disais dans mon exil.
Un soir, je s’rai dans mon pays;
Il n’y aura plus que toi.
Que l’ombre descend dans la rue,
Je suis dans ma chambre, tranquille.
Et, seule, je suis perdue.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Ce soir, je rêve à toi, chéri
Et murmure ton nom, tout bas.
C’est que je n’ai qu’un seul espoir,
L’espoir si doux de te revoir.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Dans la nuit calme et brumeuse,
Seule, j’attends le point du jour.
Mais, dans mon cœur, brûle en veilleuse
La flamme de l’amour.
Ce soir, je pense à toi, chéri,
A tous mes amis, là-bas.
Ce soir, je pense à mon pays
Et murmure ton nom, tout bas.
C’est que je n’ai qu’un seul espoir,
L’espoir si doux de vous revoir.
Ce soir, je pense à mon pays,
A tous mes amis, là-bas.
Mais je sais bien qu’un soir viendra
Où, dans ma patrie, douce et chaude,
Je pourrai retrouver chez moi
Tout mon bonheur d’hier.
Un soir, je s’rai dans mon pays,
Près de mes amis, là-bas.
Je serai dans tes bras, chéri,
Et te redirai, tout bas,
Les mots que, dans cette autre vie,
Je te disais dans mon exil.
Un soir, je s’rai dans mon pays;
Il n’y aura plus que toi.