Les paroles de la chanson
« Ce qui reste »
Vincent Delbushaye
Ce qui reste de nous
C’est mes coudes aux genoux
Y avait hier, aujourd’hui
Entre eux deux, une nuit
Pas d’envie, plus d’attente
Sinon celle d’aller mieux
Plus d’amours qui se mentent
A se raconter, eux
Ce qui reste de nous
C’est même pas une joue
Sur laquelle embrasser
De tes seins à tes pieds
En une hypocrisie
Qui m’aiderait à vivre
Au rebord des tant pis
Ce qui reste de nous
J’ai beau l’tenir en joue
Il me nargue et m’abat
Au tout premier faux-pas
Ta voix au téléphone
J’ai moins froid mais frissonne
Ce qui reste de nous
Fond comme songe au sommeil
Et si t’en rêves encore
C’est de moins en moins fort
Jusqu’au dernier réveil
Ce qui reste de nous
N’est déjà plus debout
Il s’en va, délétère
Par la porte arrière
Ce qui reste de nous
C’est un goût de fumée
Devenu courant d’air
Ce qui reste après coup
C’est de moins en moins nous
C’est moi…
C’est mes coudes aux genoux
Y avait hier, aujourd’hui
Entre eux deux, une nuit
Pas d’envie, plus d’attente
Sinon celle d’aller mieux
Plus d’amours qui se mentent
A se raconter, eux
Ce qui reste de nous
C’est même pas une joue
Sur laquelle embrasser
De tes seins à tes pieds
En une hypocrisie
Qui m’aiderait à vivre
Au rebord des tant pis
Ce qui reste de nous
J’ai beau l’tenir en joue
Il me nargue et m’abat
Au tout premier faux-pas
Ta voix au téléphone
J’ai moins froid mais frissonne
Ce qui reste de nous
Fond comme songe au sommeil
Et si t’en rêves encore
C’est de moins en moins fort
Jusqu’au dernier réveil
Ce qui reste de nous
N’est déjà plus debout
Il s’en va, délétère
Par la porte arrière
Ce qui reste de nous
C’est un goût de fumée
Devenu courant d’air
Ce qui reste après coup
C’est de moins en moins nous
C’est moi…