Les paroles de la chanson
« Ce jour-là… à paris »
Jacqueline François
[Premier couplet chanté dans la version d’André Claveau :]
Les beaux souvenirs, Dieu merci, ça vous suit à la ronde
Je suis sûr qu’en ce moment-ci, à l’autre bout du monde
Devant un verre de whisky, y a un gars qui raconte
Écoute ça, c’est comme ça, ce jour-là...
La Seine flânait dans son lit
Le printemps rôdait sur la Seine
Notre-Dame sonnait midi
A Paris, à Paris, à Paris
Le ciel des beaux jours avait pris
Le drapeau d’azur pour emblème
Devant les passants tout surpris
A Paris, à Paris, à Paris
Sur un air de valse, des morceaux de ciel
Dansaient, dansaient dans l’eau
Et, dans ce miroir, son sourire irréel
Brillait comme un flambeau
Les moineaux de l’île Saint-Louis
Me soufflaient des vers de Verlaine
Mais nos yeux parlaient mieux que lui
A Paris, à Paris, à Paris
Mais à Paris, tout s’envole au son d’ l’accordéon
Et les images sur l’eau se noient dans un frisson
Y a trop d’oiseaux étourdis par la même chanson
Et voilà, c’est pourquoi ce jour-là...
La Seine flânait dans son lit
L’automne rôdait sur la Seine
Notre-Dame sonnait midi
A Paris, à Paris, à Paris
Le ciel de novembre avait mis
De l’or dans le gris des persiennes
Devant les passants tout surpris
A Paris, à Paris, à Paris
Sur un air de valse, la brise éperdue
Tournait, tournait, tournait
Le parfum volage des bonheurs perdus
Volait, volait, volait
Les moineaux de l’île Saint-Louis
Me soufflaient des vers de Verlaine
Mais mon cœur pleurait mieux que lui
Mon chéri, mon chéri, mon chéri
A Paris, à Paris, à Paris
Les beaux souvenirs, Dieu merci, ça vous suit à la ronde
Je suis sûr qu’en ce moment-ci, à l’autre bout du monde
Devant un verre de whisky, y a un gars qui raconte
Écoute ça, c’est comme ça, ce jour-là...
La Seine flânait dans son lit
Le printemps rôdait sur la Seine
Notre-Dame sonnait midi
A Paris, à Paris, à Paris
Le ciel des beaux jours avait pris
Le drapeau d’azur pour emblème
Devant les passants tout surpris
A Paris, à Paris, à Paris
Sur un air de valse, des morceaux de ciel
Dansaient, dansaient dans l’eau
Et, dans ce miroir, son sourire irréel
Brillait comme un flambeau
Les moineaux de l’île Saint-Louis
Me soufflaient des vers de Verlaine
Mais nos yeux parlaient mieux que lui
A Paris, à Paris, à Paris
Mais à Paris, tout s’envole au son d’ l’accordéon
Et les images sur l’eau se noient dans un frisson
Y a trop d’oiseaux étourdis par la même chanson
Et voilà, c’est pourquoi ce jour-là...
La Seine flânait dans son lit
L’automne rôdait sur la Seine
Notre-Dame sonnait midi
A Paris, à Paris, à Paris
Le ciel de novembre avait mis
De l’or dans le gris des persiennes
Devant les passants tout surpris
A Paris, à Paris, à Paris
Sur un air de valse, la brise éperdue
Tournait, tournait, tournait
Le parfum volage des bonheurs perdus
Volait, volait, volait
Les moineaux de l’île Saint-Louis
Me soufflaient des vers de Verlaine
Mais mon cœur pleurait mieux que lui
Mon chéri, mon chéri, mon chéri
A Paris, à Paris, à Paris