Les paroles de la chanson
« Carte postale à ma cousine qui habite au bord de la méditerranée »
Sanseverino
Je pense fort à toi ma cousine
En regardant le littoral
Tu es au chaud je t’imagine
Ca me remonte le moral
Ici le printemps c’est l’hiver
Tu es toujours la bienvenue
Il neige sur le primevères
Et les cerisiers sont tout nu
Si tu débarques en Normandie
Va pas t’épiler le maillot
Ici pas de minikini
Mais des moules et des bigorneaux
Sitôt arrivé à la mer
J’ai bien étalé ma serviette
Et puis après y’a rien à faire
Il fait trop froid pour faire trempette
Y’a pas un chat sur la falaise
Panorama une belle arnaque
Les gros nichons, les gros balèzes
Sont blindés dans leur anorak
Si tu débarques en Normandie
Va pas t’épiler les gambettes
Ici pas de minikini
Mais des moules et des pêcheurs en salopette
Moi qui voulais me rincer l’oeil
Des jolis seins sous le soleil
Sentir odeurs de monoï
Le sable entre les orteils
Deux mamies en bonnet d’bain
S’entraînent pour le jour de l’an
Comme un con j’ai même pas de pain
Pour exciter les grelots
Si tu débarques en Normandie
Va pas te tailler le minou
Ici pas de minikini
Mais les bottes jusqu’aux genoux
Moi qui croyaient mater des culs
Quasi méditerranéens
La Manche m’a beaucoup déçu
Les normandes sont des boudins
Salue pour moi les cerf-volants
Et les pédalos qui déboulent
Ici on porte des collants
Pour éviter la chair de poule
Je pense fort à toi ma cousine
en regardant le littoral
Tu es au chaud je t’imagine
Ca me remonte le moral
Passe le bonjour à tes copines
Dis leur que je viens cet été
Et que nous irons à la piscine
Si la mer est trop démontée
Surtout qu’elles se taillent le minou
Qu’elles s’épilent les gambettes
Et sortent le minikini
Je débarque de Normandie
En regardant le littoral
Tu es au chaud je t’imagine
Ca me remonte le moral
Ici le printemps c’est l’hiver
Tu es toujours la bienvenue
Il neige sur le primevères
Et les cerisiers sont tout nu
Si tu débarques en Normandie
Va pas t’épiler le maillot
Ici pas de minikini
Mais des moules et des bigorneaux
Sitôt arrivé à la mer
J’ai bien étalé ma serviette
Et puis après y’a rien à faire
Il fait trop froid pour faire trempette
Y’a pas un chat sur la falaise
Panorama une belle arnaque
Les gros nichons, les gros balèzes
Sont blindés dans leur anorak
Si tu débarques en Normandie
Va pas t’épiler les gambettes
Ici pas de minikini
Mais des moules et des pêcheurs en salopette
Moi qui voulais me rincer l’oeil
Des jolis seins sous le soleil
Sentir odeurs de monoï
Le sable entre les orteils
Deux mamies en bonnet d’bain
S’entraînent pour le jour de l’an
Comme un con j’ai même pas de pain
Pour exciter les grelots
Si tu débarques en Normandie
Va pas te tailler le minou
Ici pas de minikini
Mais les bottes jusqu’aux genoux
Moi qui croyaient mater des culs
Quasi méditerranéens
La Manche m’a beaucoup déçu
Les normandes sont des boudins
Salue pour moi les cerf-volants
Et les pédalos qui déboulent
Ici on porte des collants
Pour éviter la chair de poule
Je pense fort à toi ma cousine
en regardant le littoral
Tu es au chaud je t’imagine
Ca me remonte le moral
Passe le bonjour à tes copines
Dis leur que je viens cet été
Et que nous irons à la piscine
Si la mer est trop démontée
Surtout qu’elles se taillent le minou
Qu’elles s’épilent les gambettes
Et sortent le minikini
Je débarque de Normandie