Les paroles de la chanson
« Carib islander »
Laurent Voulzy
Au fond de l’estuaire
Dans la zone portuaire,
Là où rien ne dure,
Un quai sans lumière
Vers les containers,
Pleurent les filles au coeur pur,
Elles se désespèrent
Pour des loups solitaires
Que rien ne peut retenir,
Est-ce par une peur d’elles
Qu’ils sont infidèles
Et veulent toujours partir?
Toujours
{Refrain:}
Oh! Petite,
Les mots d’amour que vous me dites
Tombent dans l’eau grise
Que le gasoil irise,
Oh! Frimousse,
Je te regarde et j’ai la frousse,
Allez, va voir ailleurs
J’ai le nez dans le moteur
Du Carib Islander
Sous les grues dans le noir
Traîne encore l’histoire
De John, Sally et John,
Mais en zone portuaire
Tout est éphémère
Et John
Bien sûr abandonne
Ni coeur, ni chaîne,
Y a rien qui retienne
Les caisses et les bois de teck,
Ces matières premières
Repartent en haute mer
Et les amours avec
C’est pourquoi
{au Refrain}
Le jour au diesel,
Le soir
Dans le bleu cruel
Des bars
Et toujours,
Les filles souffriront d’amour
Du coeur si léger
Oh si léger les hommes,
Oh! Frimousse,
Naviguer sur ta peau douce,
Je serai à cinq heures
Sur le pont supérieur
Du Carib Islander,
Cinq heures
Dans la zone portuaire,
Là où rien ne dure,
Un quai sans lumière
Vers les containers,
Pleurent les filles au coeur pur,
Elles se désespèrent
Pour des loups solitaires
Que rien ne peut retenir,
Est-ce par une peur d’elles
Qu’ils sont infidèles
Et veulent toujours partir?
Toujours
{Refrain:}
Oh! Petite,
Les mots d’amour que vous me dites
Tombent dans l’eau grise
Que le gasoil irise,
Oh! Frimousse,
Je te regarde et j’ai la frousse,
Allez, va voir ailleurs
J’ai le nez dans le moteur
Du Carib Islander
Sous les grues dans le noir
Traîne encore l’histoire
De John, Sally et John,
Mais en zone portuaire
Tout est éphémère
Et John
Bien sûr abandonne
Ni coeur, ni chaîne,
Y a rien qui retienne
Les caisses et les bois de teck,
Ces matières premières
Repartent en haute mer
Et les amours avec
C’est pourquoi
{au Refrain}
Le jour au diesel,
Le soir
Dans le bleu cruel
Des bars
Et toujours,
Les filles souffriront d’amour
Du coeur si léger
Oh si léger les hommes,
Oh! Frimousse,
Naviguer sur ta peau douce,
Je serai à cinq heures
Sur le pont supérieur
Du Carib Islander,
Cinq heures