Les paroles de la chanson
« Canto di sorenza »
Julie Pietri
Il y a au fond de ma mémoire, une chanson pleine d’amour
qu’une très jolie voix, dans le soir, fredonnait toujours.
Oh! Ta voix, qui avant de m’endormir tranquille, chantait doucement.
Tu m’as offert le secret des fleurs, les caresses du matin,
pourtant, tu m’as poinçonné le coeur, once du chagrin.
En partant, tu m’as volé le son de ta voix, ma douce lumière sur la terre.
En sentinelle, dans mon sommeil, tu es bien là, comme avant, ma maman.
Et tu souris, et tu m’as dit "Je veillerai sur toi toute ma vie."
J’ai défait mes longues tresses brunes nouées d’un brin de raphia
pour celui apparu sur la dune d’un chemin de croix.
De lumière, il a inondé toute la terre en greffant mon coeur à son coeur.
Si un jour, je ne vois plus le ciel, il m’offrira son mystère.
Si un jour, je n’entends plus la mer, il me bercera.
En silence, sans lui, je serais sans lendemains, il me tient blottie dans ses mains.
Comme une rose apprivoisée, le petit Prince, un jour, a su m’aimer.
Dans l’infini blanc de jasmin, il allumait l’arme au creux de mes seins.
Comme une rose apprivoisée, le petit Prince, un jour, a su m’aimer.
Dans l’infini blanc de jasmin, il allumait l’arme au creux de mes seins.
qu’une très jolie voix, dans le soir, fredonnait toujours.
Oh! Ta voix, qui avant de m’endormir tranquille, chantait doucement.
Tu m’as offert le secret des fleurs, les caresses du matin,
pourtant, tu m’as poinçonné le coeur, once du chagrin.
En partant, tu m’as volé le son de ta voix, ma douce lumière sur la terre.
En sentinelle, dans mon sommeil, tu es bien là, comme avant, ma maman.
Et tu souris, et tu m’as dit "Je veillerai sur toi toute ma vie."
J’ai défait mes longues tresses brunes nouées d’un brin de raphia
pour celui apparu sur la dune d’un chemin de croix.
De lumière, il a inondé toute la terre en greffant mon coeur à son coeur.
Si un jour, je ne vois plus le ciel, il m’offrira son mystère.
Si un jour, je n’entends plus la mer, il me bercera.
En silence, sans lui, je serais sans lendemains, il me tient blottie dans ses mains.
Comme une rose apprivoisée, le petit Prince, un jour, a su m’aimer.
Dans l’infini blanc de jasmin, il allumait l’arme au creux de mes seins.
Comme une rose apprivoisée, le petit Prince, un jour, a su m’aimer.
Dans l’infini blanc de jasmin, il allumait l’arme au creux de mes seins.