Les paroles de la chanson
« Caméléon »
Véronique Pestel
Tu te prends pour un clown ou pour un chevalier
Pour un chef d’orchestre, pour un écolier
Ton visage change comme les halliers
Pas moyen pour moi de m’ennuyer
Chez nous, mon bel amour, ô mon Caméléon
Ma tantôt chenille, tantôt papillon
Ton visage change comme les néons
De la fête foraine des quatre saisons
Tu fais tantôt le chêne, tantôt le roseau
Le loup de La Fontaine aussi bien que l’agneau
La fourmi, la cigale et les deux petits pots
Ton visage change... C’est beau
Tu mises, tu paries, tu bluffes et lances les dés
Ta vie sur le tapis : un "Je" de société
Chacun en a sa part et moi seule en entier
Victor, pardon, je ne pouvais pas la rater
Pourquoi n’être que soi?
Pourquoi n’être qu’un seul quand on est des milliers?
Et moi qui ne dors qu’avec toi
Je ne sais jamais près de qui je vais me réveiller
Ta façon de m’aimer suit les mêmes aléas
Selon que tu sois Don Quichotte ou Casanova
L’ardeur que je t’inspire a des hauts et des bas
Ne dis pas non, je sais quand tu ne m’aimes pas
L’amour n’est homogène que dans l’idée des sots
Je ne crains ni tes flemmes ni tes dents sur ma peau
Pour faire un bon hymen, il faut du froid et du chaud
Plein de joies, quelques peines et beaucoup de repos
Pourquoi n’être que soi?
Pourquoi n’être qu’un seul quand on est des milliers?
Et moi qui ne dors qu’avec toi
Je ne sais jamais près de qui je vais me réveiller
Le chemin le plus riche n’est pas le plus plat
Les monts, les vaux s’alternent et ne s’annulent pas
Tes mille et un détours, mon amour, font de toi
Un être pur et simple, un être droit
Eh bien je vais vous montrer, au quotidien, ce que ça donne
Ça me fait : Da di bal ah... [scat]
Ben, je ne m’ennuie pas!
Pour un chef d’orchestre, pour un écolier
Ton visage change comme les halliers
Pas moyen pour moi de m’ennuyer
Chez nous, mon bel amour, ô mon Caméléon
Ma tantôt chenille, tantôt papillon
Ton visage change comme les néons
De la fête foraine des quatre saisons
Tu fais tantôt le chêne, tantôt le roseau
Le loup de La Fontaine aussi bien que l’agneau
La fourmi, la cigale et les deux petits pots
Ton visage change... C’est beau
Tu mises, tu paries, tu bluffes et lances les dés
Ta vie sur le tapis : un "Je" de société
Chacun en a sa part et moi seule en entier
Victor, pardon, je ne pouvais pas la rater
Pourquoi n’être que soi?
Pourquoi n’être qu’un seul quand on est des milliers?
Et moi qui ne dors qu’avec toi
Je ne sais jamais près de qui je vais me réveiller
Ta façon de m’aimer suit les mêmes aléas
Selon que tu sois Don Quichotte ou Casanova
L’ardeur que je t’inspire a des hauts et des bas
Ne dis pas non, je sais quand tu ne m’aimes pas
L’amour n’est homogène que dans l’idée des sots
Je ne crains ni tes flemmes ni tes dents sur ma peau
Pour faire un bon hymen, il faut du froid et du chaud
Plein de joies, quelques peines et beaucoup de repos
Pourquoi n’être que soi?
Pourquoi n’être qu’un seul quand on est des milliers?
Et moi qui ne dors qu’avec toi
Je ne sais jamais près de qui je vais me réveiller
Le chemin le plus riche n’est pas le plus plat
Les monts, les vaux s’alternent et ne s’annulent pas
Tes mille et un détours, mon amour, font de toi
Un être pur et simple, un être droit
Eh bien je vais vous montrer, au quotidien, ce que ça donne
Ça me fait : Da di bal ah... [scat]
Ben, je ne m’ennuie pas!