Les paroles de la chanson
« Ça s'est passé un dimanche »
Maurice Chevalier
Elle avait tout pour lui plaire
Il avait tout pour lui plaire aussi
Mais elle habitait à Bécon-Les-Bruyères
Et lui demeurait à Bercy
Il suffisait qu’le dieu de l’amour
Les fissent se rencontrer
Cette rencontre eut lieu un beau jour
J’vais vous la raconter
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Elle avait sa robe blanche
Lui son nique poker à carreau
Il avait également des p’tits yeux rigolos
Et une langue qu’était pas dans sa manche
Si bien qu’il invita la jolie dactylo
A s’cacher du soleil sous les branches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau.
La demoiselle était sage
Sur l’herbe elle refusa de s’assoir
Mais son cœur battait très fort sous son corsage
Elle lui jura de le revoir
Elle le revit toute la belle saison,
Un merle m’a conté
On n’voyait qu’eux sous les troncs
Des ormes et même qu’elle a fauté
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Elle avait sa robe blanche
Lui son nique poker à carreau
Mais au jeu de l’amour
Elle gagna bientôt un peu plus de rondeur dans les hanches
Puisque pour notre France il nous faut des marmots lui dit-il
C’est pas l’moment qu’tu flanches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Pour que l’enfant ait un père
Le père étant un homme censé
Ne trouva r’ien d’mieux que d’épouser la mère
C’est rien mais fallait y penser
Il n’y pensa que quinze ans plus tard
C’est pour cette raison là
Le jour des noces on vit leur moutard
Qui dansait la java
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
C’est dans une baraque en planche
Qu’on baptise au printemps Caboulo
Et pendant qu’les copains après les p’tits gâteaux
Faisaient une belote en trois manches
Afin d’revoir l’endroit de leur premier béco
Ils s’enfuirent tous les deux sous les branches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
C’est tout!
Il avait tout pour lui plaire aussi
Mais elle habitait à Bécon-Les-Bruyères
Et lui demeurait à Bercy
Il suffisait qu’le dieu de l’amour
Les fissent se rencontrer
Cette rencontre eut lieu un beau jour
J’vais vous la raconter
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Elle avait sa robe blanche
Lui son nique poker à carreau
Il avait également des p’tits yeux rigolos
Et une langue qu’était pas dans sa manche
Si bien qu’il invita la jolie dactylo
A s’cacher du soleil sous les branches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau.
La demoiselle était sage
Sur l’herbe elle refusa de s’assoir
Mais son cœur battait très fort sous son corsage
Elle lui jura de le revoir
Elle le revit toute la belle saison,
Un merle m’a conté
On n’voyait qu’eux sous les troncs
Des ormes et même qu’elle a fauté
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Elle avait sa robe blanche
Lui son nique poker à carreau
Mais au jeu de l’amour
Elle gagna bientôt un peu plus de rondeur dans les hanches
Puisque pour notre France il nous faut des marmots lui dit-il
C’est pas l’moment qu’tu flanches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
Pour que l’enfant ait un père
Le père étant un homme censé
Ne trouva r’ien d’mieux que d’épouser la mère
C’est rien mais fallait y penser
Il n’y pensa que quinze ans plus tard
C’est pour cette raison là
Le jour des noces on vit leur moutard
Qui dansait la java
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
C’est dans une baraque en planche
Qu’on baptise au printemps Caboulo
Et pendant qu’les copains après les p’tits gâteaux
Faisaient une belote en trois manches
Afin d’revoir l’endroit de leur premier béco
Ils s’enfuirent tous les deux sous les branches
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau
C’est tout!