Les paroles de la chanson
« C'était une nuit »
Jean-Roger Caussimon
Frappant d’ la pointe
Et du talon
Tout au long
De la rue mouillée
Moi j’y allais
De ma complainte
Et dans la nuit
Pleine de mystère
Mon âme légère
Dansait aussi
Comme Fred Astaire
Ou Gene Kelly
Derrière une vitre
Le père Jojo
Jouait du banjo
Dans sa gargote
Et pour ses potes
Faisait le pitre
Il faut vous dire qu’ c’était une nuit
Une de ces belles nuits où l’on croit
Que quelque chose arrivera
Qui va changer, changer la vie
Une nuit, une nuit, comme j’en ai jamais r’vu depuis!
Comme des feuilles mortes
Qui s’ sont cassés
Quand j’ai poussé,
Poussé la porte
Le vent glacé
Prêtait main forte
Et pas surpris
Quand je l’ai vue
Blonde et menue
Je lui ai dit
"Tu es venue
Du Paradis
Comme une étoile
De liberté
Que, du ciel d’été,
On voit descendre
Ma douce et tendre
Mettons les voiles!"
Il faut vous dire qu’ c’était une nuit
Une nuit, une nuit, comme j’en ai jamais r’vu depuis!
Rien qu’une seconde
J’ai, silencieux,
Fermé les yeux
L’instant d’après
Je m’ suis r’trouvé
Tout seul au monde
Y avait plus rien
De ce beau rêve
Que l’ jour qui s’ lève
Et, tout au loin,
Un nuage qui crève
Comme un chagrin
Puis, quand il vente
Au long des rues
Des rues perdues
Où je me perds
Je vais d’ travers
Et puis je chante
Et j’ vais m’ noircir à même la nuit
En souv’nir d’une nuit d’autrefois
Où l’ grand amour qui n’ vient qu’une fois
Devait changer, changer ma vie
Une nuit, une nuit comme j’en ai jamais r’vu depuis!
Et du talon
Tout au long
De la rue mouillée
Moi j’y allais
De ma complainte
Et dans la nuit
Pleine de mystère
Mon âme légère
Dansait aussi
Comme Fred Astaire
Ou Gene Kelly
Derrière une vitre
Le père Jojo
Jouait du banjo
Dans sa gargote
Et pour ses potes
Faisait le pitre
Il faut vous dire qu’ c’était une nuit
Une de ces belles nuits où l’on croit
Que quelque chose arrivera
Qui va changer, changer la vie
Une nuit, une nuit, comme j’en ai jamais r’vu depuis!
Comme des feuilles mortes
Qui s’ sont cassés
Quand j’ai poussé,
Poussé la porte
Le vent glacé
Prêtait main forte
Et pas surpris
Quand je l’ai vue
Blonde et menue
Je lui ai dit
"Tu es venue
Du Paradis
Comme une étoile
De liberté
Que, du ciel d’été,
On voit descendre
Ma douce et tendre
Mettons les voiles!"
Il faut vous dire qu’ c’était une nuit
Une nuit, une nuit, comme j’en ai jamais r’vu depuis!
Rien qu’une seconde
J’ai, silencieux,
Fermé les yeux
L’instant d’après
Je m’ suis r’trouvé
Tout seul au monde
Y avait plus rien
De ce beau rêve
Que l’ jour qui s’ lève
Et, tout au loin,
Un nuage qui crève
Comme un chagrin
Puis, quand il vente
Au long des rues
Des rues perdues
Où je me perds
Je vais d’ travers
Et puis je chante
Et j’ vais m’ noircir à même la nuit
En souv’nir d’une nuit d’autrefois
Où l’ grand amour qui n’ vient qu’une fois
Devait changer, changer ma vie
Une nuit, une nuit comme j’en ai jamais r’vu depuis!