Les paroles de la chanson
« C'était elle que j'attendais »
Pierre Perret
Je venais de débarquer aux Etats-Unis
Pour faire un papier sue les milieux pourris
Des junquies de la défonce
A Chelsea et dans le Bronx
Du sexe au crime c’était la déprime
Je l’ai vu dans un p’tit snack aux lumières glauques
Grignotant un hamburger devant son coke
Elle avait une telle grâce
Dans cet univers de crasse
Elle m’a filé comme une envie de chialer
{Refrain:}
Depuis la nuit des temps que Cupidon boudait
Je savais que c’était elle que j’attendais
C’était une belle Ferrari pas pour ma poire
Comme t’en vois seulement quand t’allumes un pétard
Je lui ai dit :Y love you
Mais elle en avait vraiment
Rien à cirer et elle s’est marrée
Je l’ai suivie comme un clébard à Central Park
Elle m’a dit des mecs comme toi j’en ai ma claque
Moi ce que je veux c’est de l’osier
Un type qui en a dans le gésier
Et pour l’amour on verra toujours
{au Refrain}
Elle me dit qu’elle en a marre de tortiller du prose
Et de michetonner pour se payer sa dose
Et qu’elle cherche un camion
Pour partir à Los Angeles
Sans rien en poche y faire du cinoche
Je l’ai emmener dans la quarante-deuxième rue
A la gare routière la plus grande de New-York
Tout au long de la balade
On s’embrasse comme des malades
Elle me lâche plus le coude jusqu’à Hollywood
{au Refrain}
Elle s’est fait jeter par cinquante imprésario
Avant de faire un bout d’essai dans un studio
Quand à moi pauvre ringard
On m’a viré de mon canard
Et c’est pourquoi j’écris des scénars
A présent qu’elle est devenue une sacrée star
Elle a eu l’oscar en tournant notre histoire
On s’adore on s’engueule on a du fric à la pelle
Mais j’suis plus moi et elle c’est plus elle
Elle a tout le temps l’œil braqué sur le box-office
Et sur les starlettes qui attendent qu’elle vieillisse
Et notre vie on la vit dans cette putain d’atmosphère
A coups d’oscars à coups de somnifères
{au Refrain}
Pour faire un papier sue les milieux pourris
Des junquies de la défonce
A Chelsea et dans le Bronx
Du sexe au crime c’était la déprime
Je l’ai vu dans un p’tit snack aux lumières glauques
Grignotant un hamburger devant son coke
Elle avait une telle grâce
Dans cet univers de crasse
Elle m’a filé comme une envie de chialer
{Refrain:}
Depuis la nuit des temps que Cupidon boudait
Je savais que c’était elle que j’attendais
C’était une belle Ferrari pas pour ma poire
Comme t’en vois seulement quand t’allumes un pétard
Je lui ai dit :Y love you
Mais elle en avait vraiment
Rien à cirer et elle s’est marrée
Je l’ai suivie comme un clébard à Central Park
Elle m’a dit des mecs comme toi j’en ai ma claque
Moi ce que je veux c’est de l’osier
Un type qui en a dans le gésier
Et pour l’amour on verra toujours
{au Refrain}
Elle me dit qu’elle en a marre de tortiller du prose
Et de michetonner pour se payer sa dose
Et qu’elle cherche un camion
Pour partir à Los Angeles
Sans rien en poche y faire du cinoche
Je l’ai emmener dans la quarante-deuxième rue
A la gare routière la plus grande de New-York
Tout au long de la balade
On s’embrasse comme des malades
Elle me lâche plus le coude jusqu’à Hollywood
{au Refrain}
Elle s’est fait jeter par cinquante imprésario
Avant de faire un bout d’essai dans un studio
Quand à moi pauvre ringard
On m’a viré de mon canard
Et c’est pourquoi j’écris des scénars
A présent qu’elle est devenue une sacrée star
Elle a eu l’oscar en tournant notre histoire
On s’adore on s’engueule on a du fric à la pelle
Mais j’suis plus moi et elle c’est plus elle
Elle a tout le temps l’œil braqué sur le box-office
Et sur les starlettes qui attendent qu’elle vieillisse
Et notre vie on la vit dans cette putain d’atmosphère
A coups d’oscars à coups de somnifères
{au Refrain}