Les paroles de la chanson
« C'est un soir de décembre »
Maurice Fanon
C’est un soir de décembre
Que tout a commencé
Comme on sent sous la neige
Le premier blé pousser
Cette nuit de décembre
Où tout s’est déchiré
Il gelait à pierre fendre
Et ma mère me portait
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Et déjà ma mère n’est plus
Que pour m’avoir donné naissance
Et déjà ma mère n’est plus
Que souriante en son silence
Jardin, jardin, jardin perdu
Merci, merci pour mon enfance
C’est un soir de décembre
Que je t’ai rencontrée
Comme on voit sous la cendre
Une braise bouger
Cette nuit de décembre
Où tu m’as réchauffé
Il gelait à cœur fendre
Et ton cœur me portait
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Et déjà notre amour n’est plus
Que pour m’avoir donné souffrance
Et déjà notre amour n’est plus
Que déchirure en son silence
Amour, amour, amour perdu
Merci, merci pour la romance
C’est un soir de décembre
Que l’on m’a ramassé
Comme on voit sous la branche
L’oiseau qui est tombé
Cette nuit de décembre
Où tout a basculé
J’étais saoul à me pendre
Trois ombres sont passées
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Déjà les brutes ne sont plus
Que pour m’avoir botté la panse
Déjà les brutes ne sont plus
Que trois imbéciles en instance
De devenir une fois de plus
Les assassins de l’innocence
Jardin, jardin, jardin perdu
Merci, merci pour mon enfance
Amour, amour, amour perdu
Merci, merci pour la romance
Que tout a commencé
Comme on sent sous la neige
Le premier blé pousser
Cette nuit de décembre
Où tout s’est déchiré
Il gelait à pierre fendre
Et ma mère me portait
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Et déjà ma mère n’est plus
Que pour m’avoir donné naissance
Et déjà ma mère n’est plus
Que souriante en son silence
Jardin, jardin, jardin perdu
Merci, merci pour mon enfance
C’est un soir de décembre
Que je t’ai rencontrée
Comme on voit sous la cendre
Une braise bouger
Cette nuit de décembre
Où tu m’as réchauffé
Il gelait à cœur fendre
Et ton cœur me portait
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Et déjà notre amour n’est plus
Que pour m’avoir donné souffrance
Et déjà notre amour n’est plus
Que déchirure en son silence
Amour, amour, amour perdu
Merci, merci pour la romance
C’est un soir de décembre
Que l’on m’a ramassé
Comme on voit sous la branche
L’oiseau qui est tombé
Cette nuit de décembre
Où tout a basculé
J’étais saoul à me pendre
Trois ombres sont passées
Pendu, cocu, battu
Merci, merci, merci d’avance
Déjà les brutes ne sont plus
Que pour m’avoir botté la panse
Déjà les brutes ne sont plus
Que trois imbéciles en instance
De devenir une fois de plus
Les assassins de l’innocence
Jardin, jardin, jardin perdu
Merci, merci pour mon enfance
Amour, amour, amour perdu
Merci, merci pour la romance