Les paroles de la chanson
« C'est tout comme »
Eddy Mitchell
La main qui montre le ciel noir
Mes yeux qui voudraient te voir
Mais tu n’es pas revenue
Et ce temps perdu
C’est tout comme un monde qui me fuit
Le train qui file dans la nuit
Le froid qui arrête la vie
Le vent qui porte la pluie
Et tous ses ennuis
C’est tout comme un jour sans rêve autour
Jamais, non jamais trop de bleu et de rire
Le soleil, c’est pour les pauvres, pour les aider à vivre
Le moindre bruit qui me réveille
La ville ne dort pas,
Sur son néon et ses enseignes,
Cette joie qui se perd
C’est tout comme un jour sans rêve autour.
Jamais, non jamais là, croiseront nos routes
Le temps et les gens qui passent viennent creuser le doute
Après minuit, le blues qui pleure
Dans la fumée des bars
L’image du dernier quart d’heure
De cette joie qui se meurt
C’est tout comme un cœur qui ne bat plus
C’est tout comme un monde qui me fuit
C’est tout comme un jour sans rêve autour
Mes yeux qui voudraient te voir
Mais tu n’es pas revenue
Et ce temps perdu
C’est tout comme un monde qui me fuit
Le train qui file dans la nuit
Le froid qui arrête la vie
Le vent qui porte la pluie
Et tous ses ennuis
C’est tout comme un jour sans rêve autour
Jamais, non jamais trop de bleu et de rire
Le soleil, c’est pour les pauvres, pour les aider à vivre
Le moindre bruit qui me réveille
La ville ne dort pas,
Sur son néon et ses enseignes,
Cette joie qui se perd
C’est tout comme un jour sans rêve autour.
Jamais, non jamais là, croiseront nos routes
Le temps et les gens qui passent viennent creuser le doute
Après minuit, le blues qui pleure
Dans la fumée des bars
L’image du dernier quart d’heure
De cette joie qui se meurt
C’est tout comme un cœur qui ne bat plus
C’est tout comme un monde qui me fuit
C’est tout comme un jour sans rêve autour