Les paroles de la chanson
« C'est toujours le matin »
Cali
C’est toujours le matin, toujours,
Tu me reviens le sourire invincible
C’est toujours le matin, toujours,
Comme un coup de poing
Ton sourire est terrible
Moi je suis enroulé sur moi même
J’ai mal au bide
Enroulé comme un tube de dentifrice vide
Oui je t’ai attendue toute la nuit
Comme un chien stupide
Oui je t’ai attendu, attendu, Hé!
Ne souri pas, ne souri pas
Ne me dis pas cette fois
Qu’il t’a aimé comme trois
Epargne moi, épargne moi
Ne me tue pas cette fois
Ne me dis pas qu’il t’a fait tout ça
Et mes yeux qui t’ont aimé toujours
Viennent encore demander
Quelques miettes de tendresse
Mêmes si tes habits puent l’amour
Même si ton corps est tapissé
De toutes ses caresses
Je te suis jusqu’ä la salle de bains
Tu ne me regardes pas
Ton coeur brûle désormais entre ses mains
Le mien vole en éclats
J’imagine ses gros doigts
Qui défilent sur toi
Comme un armée de soldats
Qui tendraient le bras droit
C’est toujours pas très loin
Qu’il éteint le moteur
Qu’il étreint tes lèvres
Et qu’il s’installe dans ton corps
C’est toujours le matin
Toujours ä la même heure
Je m’habille de ténèbres
Tu éclabousses de bonheur
Tu me reviens le sourire invincible
C’est toujours le matin, toujours,
Comme un coup de poing
Ton sourire est terrible
Moi je suis enroulé sur moi même
J’ai mal au bide
Enroulé comme un tube de dentifrice vide
Oui je t’ai attendue toute la nuit
Comme un chien stupide
Oui je t’ai attendu, attendu, Hé!
Ne souri pas, ne souri pas
Ne me dis pas cette fois
Qu’il t’a aimé comme trois
Epargne moi, épargne moi
Ne me tue pas cette fois
Ne me dis pas qu’il t’a fait tout ça
Et mes yeux qui t’ont aimé toujours
Viennent encore demander
Quelques miettes de tendresse
Mêmes si tes habits puent l’amour
Même si ton corps est tapissé
De toutes ses caresses
Je te suis jusqu’ä la salle de bains
Tu ne me regardes pas
Ton coeur brûle désormais entre ses mains
Le mien vole en éclats
J’imagine ses gros doigts
Qui défilent sur toi
Comme un armée de soldats
Qui tendraient le bras droit
C’est toujours pas très loin
Qu’il éteint le moteur
Qu’il étreint tes lèvres
Et qu’il s’installe dans ton corps
C’est toujours le matin
Toujours ä la même heure
Je m’habille de ténèbres
Tu éclabousses de bonheur