Les paroles de la chanson
« C'est pas de l'amour mais c'est tout comme »
Michel Fugain
Avant que cette chanson-là ne soit posthume
Je veux rendre hommage, une fois n’est pas coutume
A toi l’instit qui à coups de latte
M’as fait passer le goût des maths
Toi l’acnéenne assez salope
Pour me faire fumer mon premier clope
Toi le pion maniaque et pervers
Qui avec ton QI de pivert
Montrais dans tes grands yeux stupides
L’infinie dictature du vide
De toi, à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme
Ceux qui m’ont appris la vie vont me permettre
De leur dire merci comme on salue ses maîtres
Toi le faux-cul, toi le faux frère
Qui me collais comme un cocker
Qui me trouvais tout grand tout beau
Et m’a fait un enfant dans le dos
Toi le banquier, toi l’homme honnête
Près de tes sous près du bon Dieu
Qui m’as appuyé sur la tête
Quand j’étais dedans jusqu’aux yeux
De toi à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme
Je voudrais conclure car il faut bien conclure
Ce modeste hommage à l’ordre des ordures
Toi...
Avec une fleur au bout des doigts
Une fleur d’hiver, un chrysanthème
Pour me trahir une dernière fois
Et toi Satan, toi Lucifer
Qui me réserves patiemment
Une place au chaud dans ton enfer
Moi qui n’ai pas toujours été tout blanc
De toi à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme
Je veux rendre hommage, une fois n’est pas coutume
A toi l’instit qui à coups de latte
M’as fait passer le goût des maths
Toi l’acnéenne assez salope
Pour me faire fumer mon premier clope
Toi le pion maniaque et pervers
Qui avec ton QI de pivert
Montrais dans tes grands yeux stupides
L’infinie dictature du vide
De toi, à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme
Ceux qui m’ont appris la vie vont me permettre
De leur dire merci comme on salue ses maîtres
Toi le faux-cul, toi le faux frère
Qui me collais comme un cocker
Qui me trouvais tout grand tout beau
Et m’a fait un enfant dans le dos
Toi le banquier, toi l’homme honnête
Près de tes sous près du bon Dieu
Qui m’as appuyé sur la tête
Quand j’étais dedans jusqu’aux yeux
De toi à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme
Je voudrais conclure car il faut bien conclure
Ce modeste hommage à l’ordre des ordures
Toi...
Avec une fleur au bout des doigts
Une fleur d’hiver, un chrysanthème
Pour me trahir une dernière fois
Et toi Satan, toi Lucifer
Qui me réserves patiemment
Une place au chaud dans ton enfer
Moi qui n’ai pas toujours été tout blanc
De toi à moi, quand j’y repense
Je me dis que j’ai eu de la chance
Que la vie m’a fait une fleur
De toi à moi, et d’homme à homme
C’est pas de l’amour, mais c’est tout comme