Les paroles de la chanson
« C'est la vie qui passe »
Louis Capart
Vois comme l’on s’entête
À être encore aimable
Pour des semblants de fête
Aux flonflons misérables
Vois comme on devient sage
Pour penser l’avenir
Le vent tourne des pages
Que l’on ne sait plus lire
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est le temps qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est le temps qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Chaque amour va son train
Vois comme nos conquêtes
N’ont plus les mêmes charmes
Vois comme nos défaites
N’ont plus les mêmes larmes
Vois comme nos absences
Sont voilées de sourires
Vois comme nos silences
Sont pleins de souvenirs
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est l’amour qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est l’amour qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Chaque vie va son train
Vois, nous étions des gosses
Ne craignant ni le froid
Ni les plaies ni les bosses
Nous étions tous des rois
Vois comme cet automne
Est mordu par l’hiver
Vois comme nos couronnes
S’inclinent vers la terre
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est la vie qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, non, ce n’est rien
C’est la vie qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Allons boire, mon copain!
À être encore aimable
Pour des semblants de fête
Aux flonflons misérables
Vois comme on devient sage
Pour penser l’avenir
Le vent tourne des pages
Que l’on ne sait plus lire
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est le temps qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est le temps qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Chaque amour va son train
Vois comme nos conquêtes
N’ont plus les mêmes charmes
Vois comme nos défaites
N’ont plus les mêmes larmes
Vois comme nos absences
Sont voilées de sourires
Vois comme nos silences
Sont pleins de souvenirs
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est l’amour qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est l’amour qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Chaque vie va son train
Vois, nous étions des gosses
Ne craignant ni le froid
Ni les plaies ni les bosses
Nous étions tous des rois
Vois comme cet automne
Est mordu par l’hiver
Vois comme nos couronnes
S’inclinent vers la terre
Ce n’est rien, ce n’est rien
C’est la vie qui passe
Et plus tu l’embrasses
Et moins tu l’étreins
Ce n’est rien, non, ce n’est rien
C’est la vie qui passe
Ce n’est rien, ce n’est rien
Allons boire, mon copain!