Les paroles de la chanson
« C'est à mayerling »
Mireille Mathieu
Tu jubiles sous le déluge.
Je me noie sous deux gouttes d’eau.
Tu dis que Venise est à Bruges.
Je dis que Londres est à Bordeaux.
Sur l’art de refaire le monde,
Le désaccord est immédiat.
Notre mésentente est profonde.
L’un est à hue et l’autre est à dia.
{Refrain:}
Nos divergences sont si pures
Et nos conflits si généreux.
Vivons ensemble et je te jure
Que nous serons très malheureux.
Toujours pressé, tu fais la course,
Sans crier gare, montre en main.
Je m’attarde sur la Grande Ourse,
Je musarde sur le chemin.
En bonne mésintelligence,
Nous marchons à pas inégaux,
Désunis jusque dans la danse.
Tu es valse et je suis tango.
{au Refrain}
Pour éviter toute harmonie,
Soignons notre jardin secret.
Semons un peu de zizanie.
Voici quelques graines d’ivraie.
Croquons la pomme de discorde.
Cherchons quatorze heures à midi.
Sur la place de la Concorde,
Empruntons les sens interdits.
{au Refrain}
Quand tu auras cessé de feindre
De ne pas avoir lu ces lignes,
Je t’en supplie, viens me rejoindre.
C’est trop gai sans toi Mayerling.
Je me noie sous deux gouttes d’eau.
Tu dis que Venise est à Bruges.
Je dis que Londres est à Bordeaux.
Sur l’art de refaire le monde,
Le désaccord est immédiat.
Notre mésentente est profonde.
L’un est à hue et l’autre est à dia.
{Refrain:}
Nos divergences sont si pures
Et nos conflits si généreux.
Vivons ensemble et je te jure
Que nous serons très malheureux.
Toujours pressé, tu fais la course,
Sans crier gare, montre en main.
Je m’attarde sur la Grande Ourse,
Je musarde sur le chemin.
En bonne mésintelligence,
Nous marchons à pas inégaux,
Désunis jusque dans la danse.
Tu es valse et je suis tango.
{au Refrain}
Pour éviter toute harmonie,
Soignons notre jardin secret.
Semons un peu de zizanie.
Voici quelques graines d’ivraie.
Croquons la pomme de discorde.
Cherchons quatorze heures à midi.
Sur la place de la Concorde,
Empruntons les sens interdits.
{au Refrain}
Quand tu auras cessé de feindre
De ne pas avoir lu ces lignes,
Je t’en supplie, viens me rejoindre.
C’est trop gai sans toi Mayerling.