Les paroles de la chanson
« Buenos-aires »
Philippe Chatel
Dans la cuisine d’une amie
Une gravure me racontait
Buenos-Aires
Elle ressemblait aux prospectus
Qui rien qu’en les r’gardant au vent
Changeaient d’air
Rev’nait-elle d’un voyage d’affaire ou d’agrément?
Peu m’importait, c’était si bien, c’était charmant
De voir au-d’ssus d’la cuisinière
Mmmh - Buenos-Aires
En cinq minutes j’oubliais tout
Les bouteilles vides et le ron-ron
Du frigidaire
Et je me promenais là-bas
C’était loin mais c’était chez moi - aha
Buenos-Aires
Rev’nait-elle d’un voyage d’affaire ou d’agrément?
Peu m’importait, c’était si bien, c’était troublant
D’voir au milieu des pommes de terre
Buenos-Aires
J’ai toujours pensé en moi-même
Que les plus beaux voyages se font
Par la fenêtre
Et qu’il n’est pas besoin d’bouger
Pour changer l’ciel et se griser - éhé
De découvertes
Le moindre dessin dans un livre ou sur un mur
Est une invite et un salut à l’aventure
Un coquillage et je m’endors
Au bord d’la mer
Si un beau jour l’envie me prend
De retrouver la capitale
De l’Argentine
Je reviendrai dans la maison
En sachant bien que c’est surtout
Pour la cuisine
J’irai pour un moment de rêve et d’agrément
Me replonger dans ce paysage charmant
Que forme au-d’ssus d’la cuisinière
Buenos-Aires
Buenos-Aires
Buenos-Aires
Buenos-Aires
Une gravure me racontait
Buenos-Aires
Elle ressemblait aux prospectus
Qui rien qu’en les r’gardant au vent
Changeaient d’air
Rev’nait-elle d’un voyage d’affaire ou d’agrément?
Peu m’importait, c’était si bien, c’était charmant
De voir au-d’ssus d’la cuisinière
Mmmh - Buenos-Aires
En cinq minutes j’oubliais tout
Les bouteilles vides et le ron-ron
Du frigidaire
Et je me promenais là-bas
C’était loin mais c’était chez moi - aha
Buenos-Aires
Rev’nait-elle d’un voyage d’affaire ou d’agrément?
Peu m’importait, c’était si bien, c’était troublant
D’voir au milieu des pommes de terre
Buenos-Aires
J’ai toujours pensé en moi-même
Que les plus beaux voyages se font
Par la fenêtre
Et qu’il n’est pas besoin d’bouger
Pour changer l’ciel et se griser - éhé
De découvertes
Le moindre dessin dans un livre ou sur un mur
Est une invite et un salut à l’aventure
Un coquillage et je m’endors
Au bord d’la mer
Si un beau jour l’envie me prend
De retrouver la capitale
De l’Argentine
Je reviendrai dans la maison
En sachant bien que c’est surtout
Pour la cuisine
J’irai pour un moment de rêve et d’agrément
Me replonger dans ce paysage charmant
Que forme au-d’ssus d’la cuisinière
Buenos-Aires
Buenos-Aires
Buenos-Aires
Buenos-Aires