Les paroles de la chanson
« Bouteille sur bouteille »
Massilia Sound System
Nos n’anam pas d’aicí
D’ençà luna levada
Nos n’anam pas d’aicí
D’ençà deman matin.
Et rou la la bouteille sur bouteille
Et rou la la bouteille à tour de bras
Et rou la la toujours bouteille sur bouteille
Et rou la la toujours le plaisir de l’amour.
Oh si je prends une femme qui soit belle
Oh grand danger des cornes à porter
Y aura d’autres amants qui la trouveront belle
Et me feront cocu voilà l’amant foutu.
Oh si je prends une femme qui soit laide
Oh grand danger me faudra la garder.
Comment la regarder cette vilaine laide?
Toujours devant mes pas ce que je n’aime pas.
Oh si je prends une femme qui soit riche
Oh grand danger d’aller au cabaret
Elle viendra m’y chercher en me traitant d’ivrogne
" Tu manges tout mon bien les enfants n’auront rien! "
Oh si je prends une femme qui soit pauvre
Oh grand danger me faudra la garder.
Il faudra travailler pour nourrir la famille
Travailler tout le jour la li la li la lou.
E n’i a totjorn quauqu’un
Que n’aima pas la luna
E n’i a totjorn quauqu’un
Que n’aima pas lo lum.
D’ençà luna levada
Nos n’anam pas d’aicí
D’ençà deman matin.
Et rou la la bouteille sur bouteille
Et rou la la bouteille à tour de bras
Et rou la la toujours bouteille sur bouteille
Et rou la la toujours le plaisir de l’amour.
Oh si je prends une femme qui soit belle
Oh grand danger des cornes à porter
Y aura d’autres amants qui la trouveront belle
Et me feront cocu voilà l’amant foutu.
Oh si je prends une femme qui soit laide
Oh grand danger me faudra la garder.
Comment la regarder cette vilaine laide?
Toujours devant mes pas ce que je n’aime pas.
Oh si je prends une femme qui soit riche
Oh grand danger d’aller au cabaret
Elle viendra m’y chercher en me traitant d’ivrogne
" Tu manges tout mon bien les enfants n’auront rien! "
Oh si je prends une femme qui soit pauvre
Oh grand danger me faudra la garder.
Il faudra travailler pour nourrir la famille
Travailler tout le jour la li la li la lou.
E n’i a totjorn quauqu’un
Que n’aima pas la luna
E n’i a totjorn quauqu’un
Que n’aima pas lo lum.