Les paroles de la chanson
« Bonsoir - oh ma rose d'amour »
Dick Rivers
Bonsoir!
On parle souvent d’une frontière entre le monde du rêve et celui de la réalité
Comme d’une limite indéfinissable entre l’azur et le bleu
La mer et le ciel
Où seuls peintres et poètes naviguent au gré de leur âme naufragée
Un tracé infiniment discret entre l’histoire et la légende
Quand le mensonge de l’une fait de l’autre sa vérité
Alors il est un être, une femme qui a surement dédouané cette frontière
Nous éclairant au plus profond de nous même
En révélant à nos sens ce que nous aurions souhaité qu’elle dévoile à nos yeux
Son corps absolument nu
Son sexe tel un soleil où plus d’un Icare se serait brûlé les ailes
Où plus d’une étoile aurait enfin rencontré sa nuit
Cette nuit qu’elle ne trouva elle-même pour toujours
Que lorsqu’elle ne redescendit jamais
De cet avion qui lui vola cette vie de star
Autant créature de rêve que femme à soldat
Autant Madone que fille à poster
C’est avec quelques notes de musique
Que nous allons peindre ses courbes,
Tenter de rejoindre son âme
L’alliance de leurs élans et de leur désirs
Mesdames et messieurs vous aller maintenant assister à l’histoire de Linda Lu Baker
Enveloppée dans les soigneuses fourrures et le satin charnel de sa légende
Maestro! s’il vous plait
Elle était jeune et belle
Mais n’avait pas seize ans
Offrant ses ritournelles
Dans la rue aux passants
Du côté de chez elle
Elle rencontra l’amour
Elle se sentit des ailes
En entendant sa cour
Car celui qu’elle avait choisi
Lui avait juré pour la vie
Je t’aimerai toujours
Oh! ma rose d’amour
Et si tu me quittais
J’crois bien que j’en mourrais
Je t’aimerai toujours
Le jour la nuit le jour
Cette fois c’est pour la vie
Oh! ma rose jolie
On parle souvent d’une frontière entre le monde du rêve et celui de la réalité
Comme d’une limite indéfinissable entre l’azur et le bleu
La mer et le ciel
Où seuls peintres et poètes naviguent au gré de leur âme naufragée
Un tracé infiniment discret entre l’histoire et la légende
Quand le mensonge de l’une fait de l’autre sa vérité
Alors il est un être, une femme qui a surement dédouané cette frontière
Nous éclairant au plus profond de nous même
En révélant à nos sens ce que nous aurions souhaité qu’elle dévoile à nos yeux
Son corps absolument nu
Son sexe tel un soleil où plus d’un Icare se serait brûlé les ailes
Où plus d’une étoile aurait enfin rencontré sa nuit
Cette nuit qu’elle ne trouva elle-même pour toujours
Que lorsqu’elle ne redescendit jamais
De cet avion qui lui vola cette vie de star
Autant créature de rêve que femme à soldat
Autant Madone que fille à poster
C’est avec quelques notes de musique
Que nous allons peindre ses courbes,
Tenter de rejoindre son âme
L’alliance de leurs élans et de leur désirs
Mesdames et messieurs vous aller maintenant assister à l’histoire de Linda Lu Baker
Enveloppée dans les soigneuses fourrures et le satin charnel de sa légende
Maestro! s’il vous plait
Elle était jeune et belle
Mais n’avait pas seize ans
Offrant ses ritournelles
Dans la rue aux passants
Du côté de chez elle
Elle rencontra l’amour
Elle se sentit des ailes
En entendant sa cour
Car celui qu’elle avait choisi
Lui avait juré pour la vie
Je t’aimerai toujours
Oh! ma rose d’amour
Et si tu me quittais
J’crois bien que j’en mourrais
Je t’aimerai toujours
Le jour la nuit le jour
Cette fois c’est pour la vie
Oh! ma rose jolie
