Les paroles de la chanson
« Bonheur de malheur »
Mozart, L'Opéra Rock
Je cherche l’amour sûr
La passion loyale
Des serments qu’on se jure
Si l’amour se fissure
Je me dresse en serpent fatal
Ma morsure est pure
Car elle veut l’idéal
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
Mes frayeurs sont tenaces
Elles tenaillent ma désinvolture
Je n’ai que l’audace
De caresser mes écorchures
Car nos mères
Amères
Nous ont appris les pleurs
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
On m’a dit que c’est ainsi
Que le bonheur c’est comme ça
Comme un sacerdoce qui va de soi
A vouloir l’éternel
J’ai perdu l’essentiel
Encore
Les leçons bien apprises
Encore
Et toujours les mêmes erreurs
Encore
L’illusion qui se brise
Encore
Ce bonheur de malheur
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
A la mémoire de nos parents
La passion loyale
Des serments qu’on se jure
Si l’amour se fissure
Je me dresse en serpent fatal
Ma morsure est pure
Car elle veut l’idéal
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
Mes frayeurs sont tenaces
Elles tenaillent ma désinvolture
Je n’ai que l’audace
De caresser mes écorchures
Car nos mères
Amères
Nous ont appris les pleurs
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
On m’a dit que c’est ainsi
Que le bonheur c’est comme ça
Comme un sacerdoce qui va de soi
A vouloir l’éternel
J’ai perdu l’essentiel
Encore
Les leçons bien apprises
Encore
Et toujours les mêmes erreurs
Encore
L’illusion qui se brise
Encore
Ce bonheur de malheur
J’ai peur
D’user mon sourire
À courir ce bonheur de malheur
Si peur
D’user mes soupirs
A simuler l’amour quand meurt le meilleur
J’ai peur d’épouser le pire
De tout travestir
Alors je mens
Sacrément
En sacrifiant mes sentiments
A la mémoire de nos parents