Les paroles de la chanson
« Besac »
Aldebert
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Je sens le jour réveillé
Tout seul sous mon petit manteau
Un mal de crâne mérité
Qui m’envoie ses petits marteaux
La ville dort, c’est rien de le dire
Traversant le quartier battant
Difficile d’imaginer pire
Je n’entends que claquer mes dents
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
La Grande Rue remonte infinie
Mon royaume pour un coude-à-coude
Le seul à mes côtés, c’est Murphy
Car même les murs me boudent
On dirait qu’cette ville me ressemble
Hier en phase, aujourd’hui naze
En attendant, on trace ensemble
Je la sens qui, doucement, m’apprivoise
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
Les pieds traînants, la dalle glissante
Vesontio dépose janvier
Qui se charge de mettre en attente
La lumière et mon arrivée
S’il te plaît, fais-moi un sourire
Sans forcément montrer les dents
Mais transformer en souvenir
La froideur des tours de Vauban
La place Saint-Pierre a l’air déçue
De sentir la fièvre descendre
Besançon hier a trop bu
Tous les deux on commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
{x2}
Et que sa boucle se resserre
Je sens le jour réveillé
Tout seul sous mon petit manteau
Un mal de crâne mérité
Qui m’envoie ses petits marteaux
La ville dort, c’est rien de le dire
Traversant le quartier battant
Difficile d’imaginer pire
Je n’entends que claquer mes dents
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
La Grande Rue remonte infinie
Mon royaume pour un coude-à-coude
Le seul à mes côtés, c’est Murphy
Car même les murs me boudent
On dirait qu’cette ville me ressemble
Hier en phase, aujourd’hui naze
En attendant, on trace ensemble
Je la sens qui, doucement, m’apprivoise
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
Les pieds traînants, la dalle glissante
Vesontio dépose janvier
Qui se charge de mettre en attente
La lumière et mon arrivée
S’il te plaît, fais-moi un sourire
Sans forcément montrer les dents
Mais transformer en souvenir
La froideur des tours de Vauban
La place Saint-Pierre a l’air déçue
De sentir la fièvre descendre
Besançon hier a trop bu
Tous les deux on commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
On commence à s’entendre
Quand Besac fait sa mauvaise tête
Et que sa boucle se resserre
Quand on voit s’éteindre les fêtes
Besançon se la joue sévère.
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