Les paroles de la chanson
« Belle histoire d'amis »
Jean-François Battez
Je vais te raconter l’aventure arrivée à un jeune matelot il y a bien des années
Il s’appelait François, un marin du Crotoy, il habitait tranquille à deux pas de l’église
Son temps c’était le temps de la flottille à voiles les bateaux de pêcheurs n’avaient pas de moteur
Aux vents des marées François quittait la baie, c’est là qu’un beau matin tout a commencé
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
François en chantonnant ramassait ses filets, il triait les sauterelles, les solettes et les flets
Mais une drôle de chose s’était enchevêtrée, un gros morceau de bois qui allait tout casser
Comme il démêlait ce poids indésirable il senti la chaleur, la douceur d’un pelage
Il vit monter vers lui deux grands yeux doux et calmes, ce fut d’une caresse qu’il saisit l’animal
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
Il l’a recueilli, l’a nourri, l’a soigné et ce fut le début d’une belle histoire d’amitié
Là où était François son ami était là le suivant pas à pas dans les rues du Crotoy
Ma grand-mère m’a dit avoir vu la photo d’un homme et d’un phoque assis au pas d’une porte
Le premier un grand-oncle du côté de mon père, l’autre un p’tit cousin du côté de la mer
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
Mais François d’un remord ne put se détacher celui de priver un ami de liberté
Et c’est le cœur bien lourd, au plus loin de la baie, qu’un beau matin d’amis, est allé l’abandonner
François rentré au port passa une sale nuit pris d’un autre remord bercé de petits cris
Mais au jour à sa porte comme un cadeau de l’aube il vit monter vers lui deux grands yeux doux et calmes
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
Il s’appelait François, un marin du Crotoy, il habitait tranquille à deux pas de l’église
Son temps c’était le temps de la flottille à voiles les bateaux de pêcheurs n’avaient pas de moteur
Aux vents des marées François quittait la baie, c’est là qu’un beau matin tout a commencé
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
François en chantonnant ramassait ses filets, il triait les sauterelles, les solettes et les flets
Mais une drôle de chose s’était enchevêtrée, un gros morceau de bois qui allait tout casser
Comme il démêlait ce poids indésirable il senti la chaleur, la douceur d’un pelage
Il vit monter vers lui deux grands yeux doux et calmes, ce fut d’une caresse qu’il saisit l’animal
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
Il l’a recueilli, l’a nourri, l’a soigné et ce fut le début d’une belle histoire d’amitié
Là où était François son ami était là le suivant pas à pas dans les rues du Crotoy
Ma grand-mère m’a dit avoir vu la photo d’un homme et d’un phoque assis au pas d’une porte
Le premier un grand-oncle du côté de mon père, l’autre un p’tit cousin du côté de la mer
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours
Mais François d’un remord ne put se détacher celui de priver un ami de liberté
Et c’est le cœur bien lourd, au plus loin de la baie, qu’un beau matin d’amis, est allé l’abandonner
François rentré au port passa une sale nuit pris d’un autre remord bercé de petits cris
Mais au jour à sa porte comme un cadeau de l’aube il vit monter vers lui deux grands yeux doux et calmes
Cette histoire qui ressemble à une fable d’antan, ma grand-mère la disait lorsque j’étais enfant
Belle histoire d’amis bien plus qu’histoire d’amour tant seule l’amitié rime avec toujours