Les paroles de la chanson
« Baseball »
Jean-Pierre Ferland
C’est dur à dire qui vient le premier
Le mois de mai ou les Expos
Mais quand la fièvre arrive
Il commence à faire très beau
Ça sent bon dans les estrades
Le houblon et la moutarde
Les hommes en bras de chemise
Les femmes à demi assises
On ressent l’adrénaline
Jusqu’à la rue Ste-Catherine
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
Le lanceur touche à sa caquette
Le stade devient tout petit
Le bâton comme une allumette
La balle comme un grain de pluie
Carter en petit bonhomme
Steve Rogers qui prend sa balle
L’arbitre en habit de noce
Comme aux temps qu’on était gosse
Ça sent bon dans les estrades
Quand les Expos rentrent au Stade
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
On n’entend rien, on agonise
Les mains rivées sur le bâton
Quand on a trois balles et deux prises
Le sable fuit sous les crampons
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
La voir partir autour du monde
Avec le génie d’un pigeon
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
Le mois de mai ou les Expos
Mais quand la fièvre arrive
Il commence à faire très beau
Ça sent bon dans les estrades
Le houblon et la moutarde
Les hommes en bras de chemise
Les femmes à demi assises
On ressent l’adrénaline
Jusqu’à la rue Ste-Catherine
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
Le lanceur touche à sa caquette
Le stade devient tout petit
Le bâton comme une allumette
La balle comme un grain de pluie
Carter en petit bonhomme
Steve Rogers qui prend sa balle
L’arbitre en habit de noce
Comme aux temps qu’on était gosse
Ça sent bon dans les estrades
Quand les Expos rentrent au Stade
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
On n’entend rien, on agonise
Les mains rivées sur le bâton
Quand on a trois balles et deux prises
Le sable fuit sous les crampons
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
La voir partir autour du monde
Avec le génie d’un pigeon
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons
Le beau son d’une balle ronde
Frappée d’aplomb par un bâton
Le beau son d’une balle dure
Frappée d’aplomb dans les balcons