Les paroles de la chanson
« Ballade au vent des collines »
Anne Vanderlove
Des jeunes gens en colère marchent dans la ville
La fureur défait leurs cheveux comme des drapeaux indociles
Vous n’avez plus le droit de dire "On ne sait pas"
La jeunesse c’est comme des fleuves en crue
On dirait que le Moyen Âge ramène ses bûchers
Au cœur des villes, des usines et des universités
Vous n’avez plus le droit de fermer vos oreilles
La jeunesse c’est comme un matin qui s’éveille
On a beau mettre des barrages sur les torrents
Dans les églises englouties, les cloches sonnent comme avant
Le vent déracine les arbres centenaires
La jeunesse c’est comme le vent de l’hiver
Des jeunes gens en colère marchent dans le monde entier
Au cœur des villes, des usines et des universités
Vous n’avez plus le droit de fermer vos fenêtres
La jeunesse c’est comme un printemps qui va naître
J’ai tant pleuré que le vent qui vient des collines
Ce soir sur ma joue est plus doux
Qu’il ne l’est pour les autres
Demain, je crois qu’il fera beau
La fureur défait leurs cheveux comme des drapeaux indociles
Vous n’avez plus le droit de dire "On ne sait pas"
La jeunesse c’est comme des fleuves en crue
On dirait que le Moyen Âge ramène ses bûchers
Au cœur des villes, des usines et des universités
Vous n’avez plus le droit de fermer vos oreilles
La jeunesse c’est comme un matin qui s’éveille
On a beau mettre des barrages sur les torrents
Dans les églises englouties, les cloches sonnent comme avant
Le vent déracine les arbres centenaires
La jeunesse c’est comme le vent de l’hiver
Des jeunes gens en colère marchent dans le monde entier
Au cœur des villes, des usines et des universités
Vous n’avez plus le droit de fermer vos fenêtres
La jeunesse c’est comme un printemps qui va naître
J’ai tant pleuré que le vent qui vient des collines
Ce soir sur ma joue est plus doux
Qu’il ne l’est pour les autres
Demain, je crois qu’il fera beau