Les paroles de la chanson
« Bahia »
Pierre Perret
J’ai fait de bric et de broc
Quelques éconocroques
Pour m’éclater en vacances au soleil
J’ai délaissé le Creusot, le soleil n’est pas sûr
Et cette année les bananes sont pas mûres
J’ai pensé : pourquoi pas à Bahia?
C’est la ville de toutes les couleurs
La musique de toutes les douleurs
Qui prend sa source au cœur des favelas
Dans le téton des mamans y a du lait africain
Du lait malien, espagnol, italien
Du bon lolo de Saint-Flour et de Kuala Lumpur
C’est ça qui fait les plus beaux Brésiliens
Les jolies fesses caramel
Sur la plage à midi
Sont idéales pour ouvrir l’appétit
Le goût des seins vanillés
Que vous décoquillez
Vous met la fête dans la boîte à sucettes
On n’a pas du tout idée des milliers de baisers
Qu’on peut caser sur leur peau de satin
Elles ont de sacrés poumons quand elles roulent un patin
On a tout le temps d’apprendre le brésilien
Des gosses aux yeux de cannelle
Pour une pincée de blé
Vous amèneront voir le vrai candomblé
Les pauvres s’en vont prier dans des églises d’or
Où on leur dit que Jésus n’est pas mort
Pourquoi pas, pourquoi pas à Bahia?
C’est la ville de toutes les couleurs
La musique de toutes les douleurs
Qui prend sa source au cœur des favelas
Quelques éconocroques
Pour m’éclater en vacances au soleil
J’ai délaissé le Creusot, le soleil n’est pas sûr
Et cette année les bananes sont pas mûres
J’ai pensé : pourquoi pas à Bahia?
C’est la ville de toutes les couleurs
La musique de toutes les douleurs
Qui prend sa source au cœur des favelas
Dans le téton des mamans y a du lait africain
Du lait malien, espagnol, italien
Du bon lolo de Saint-Flour et de Kuala Lumpur
C’est ça qui fait les plus beaux Brésiliens
Les jolies fesses caramel
Sur la plage à midi
Sont idéales pour ouvrir l’appétit
Le goût des seins vanillés
Que vous décoquillez
Vous met la fête dans la boîte à sucettes
On n’a pas du tout idée des milliers de baisers
Qu’on peut caser sur leur peau de satin
Elles ont de sacrés poumons quand elles roulent un patin
On a tout le temps d’apprendre le brésilien
Des gosses aux yeux de cannelle
Pour une pincée de blé
Vous amèneront voir le vrai candomblé
Les pauvres s’en vont prier dans des églises d’or
Où on leur dit que Jésus n’est pas mort
Pourquoi pas, pourquoi pas à Bahia?
C’est la ville de toutes les couleurs
La musique de toutes les douleurs
Qui prend sa source au cœur des favelas