Les paroles de la chanson
« Aveu »
Anne Sylvestre
Ils veulent que la vie soit belle.
Allons, la vie est belle, quoi?
Ils veulent qu’un amour soit fidèle.
J’aime quelqu’un qui n’est pas toi.
Y a du soleil, des fleurs qui poussent.
Ne me regarde pas comme ça!
Il faut s’aimer, la vie est douce.
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{Refrain:}
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on trouve?
Où restait la colombe, il y a une louve.
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on aime?
Tous les mots que je t’ai dits
Me semblent des blasphèmes.
C’était un amour si tranquille
Tranquille était mon cœur aussi.
Point d’ennemi dans cette ville
Point de peine et point de souci.
Jamais je n’ouvrais la fenêtre.
Ne me regarde pas comme ça!
J’étais ce que je croyais être.
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{au Refrain}
Mais un jour l’ennemi s’annonce
Il a couru, il est en bas.
Il tire les coups de semonce.
Tais-toi, j’entends mon coeur qui bat.
Moi qui dormais, je me réveille.
Ne me regarde pas comme ça!
Mon Dieu, mon Dieu, que j’étais vieille!
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{au Refrain}
Il n’est plus rien qui me retienne.
Je ne suis plus ce que j’étais.
Si cette femme était la tienne
J’en suis une autre qui se tait.
Y a du soleil, des fleurs qui poussent.
Regarde-moi, ça passera.
Il faut s’aimer, la vie est douce.
Je pars, tu ne me retiens pas.
{au Refrain}
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on trouve?
Tu aimais la colombe et je suis cette louve.
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on aime?
Tous les mots que je lui dis me semblent des poèmes.
Allons, la vie est belle, quoi?
Ils veulent qu’un amour soit fidèle.
J’aime quelqu’un qui n’est pas toi.
Y a du soleil, des fleurs qui poussent.
Ne me regarde pas comme ça!
Il faut s’aimer, la vie est douce.
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{Refrain:}
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on trouve?
Où restait la colombe, il y a une louve.
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on aime?
Tous les mots que je t’ai dits
Me semblent des blasphèmes.
C’était un amour si tranquille
Tranquille était mon cœur aussi.
Point d’ennemi dans cette ville
Point de peine et point de souci.
Jamais je n’ouvrais la fenêtre.
Ne me regarde pas comme ça!
J’étais ce que je croyais être.
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{au Refrain}
Mais un jour l’ennemi s’annonce
Il a couru, il est en bas.
Il tire les coups de semonce.
Tais-toi, j’entends mon coeur qui bat.
Moi qui dormais, je me réveille.
Ne me regarde pas comme ça!
Mon Dieu, mon Dieu, que j’étais vieille!
Si tu m’regardes, je n’pourrai pas.
{au Refrain}
Il n’est plus rien qui me retienne.
Je ne suis plus ce que j’étais.
Si cette femme était la tienne
J’en suis une autre qui se tait.
Y a du soleil, des fleurs qui poussent.
Regarde-moi, ça passera.
Il faut s’aimer, la vie est douce.
Je pars, tu ne me retiens pas.
{au Refrain}
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on trouve?
Tu aimais la colombe et je suis cette louve.
Sait-on, sait-on jamais ce qu’on aime?
Tous les mots que je lui dis me semblent des poèmes.