Les paroles de la chanson
« Avenue kennedy »
Mell
Au 2508 de l’av’nue Kennedy
Dans un établissement minable
Où l’on enferme ses semblables
Mes veines court-circuitent
Quelques anxiolytiques
Du poison à foison
Pour calmer mes passions
Je compte les barreaux d’ma prison
Et les mites du tapis
De déplie l’épine dorsale de ma folie
En 2008 j’ai craqué ma sonnette
Le bicyle dans ma tête
Allait peut-être un peu trop vite
Maintenant que je pédale
Dans des sables mouvants
Un boulet à mon pied
Pour pas que m’emporte le vent
Je suis un corps mourant
Qui plane sous l’océan
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor tu savoures ma défaite
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
Dans ma suite je voyage sur un cabriolet
Tiré par un att’lage de 27 lévriers sauvages
Mes neurones sur un grand huit
Tricotent des anoraks
Je ressemble à un fantôme
Sur un train qui déraille
Chargé de dynamite
Qui ne f’ra pas dans le détail
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor tu savoures ma défaite
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
En 2058 toujours avenue Kennedy
Dans cet établissement malsain
Où l’on prend soin de ses contemporains
Je fume et je crapote
Je sue, je suis un légume une carotte
Frimes-tu toujours autant
Depuis ton enterrement
Moi mon coeur bat lentement
Mais au moins il est vivant
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor ça danse entre squelettes
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
Dans un établissement minable
Où l’on enferme ses semblables
Mes veines court-circuitent
Quelques anxiolytiques
Du poison à foison
Pour calmer mes passions
Je compte les barreaux d’ma prison
Et les mites du tapis
De déplie l’épine dorsale de ma folie
En 2008 j’ai craqué ma sonnette
Le bicyle dans ma tête
Allait peut-être un peu trop vite
Maintenant que je pédale
Dans des sables mouvants
Un boulet à mon pied
Pour pas que m’emporte le vent
Je suis un corps mourant
Qui plane sous l’océan
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor tu savoures ma défaite
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
Dans ma suite je voyage sur un cabriolet
Tiré par un att’lage de 27 lévriers sauvages
Mes neurones sur un grand huit
Tricotent des anoraks
Je ressemble à un fantôme
Sur un train qui déraille
Chargé de dynamite
Qui ne f’ra pas dans le détail
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor tu savoures ma défaite
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
En 2058 toujours avenue Kennedy
Dans cet établissement malsain
Où l’on prend soin de ses contemporains
Je fume et je crapote
Je sue, je suis un légume une carotte
Frimes-tu toujours autant
Depuis ton enterrement
Moi mon coeur bat lentement
Mais au moins il est vivant
Alors que dehors tu dînes en tête à tête
Alors que dehors on te fait des courbettes
Dans ton décor ça danse entre squelettes
Pendant que mon corps se tord aux oubliettes
